Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Réagir et Témoigner - Page 10

  • La Cooptation

    medium_cooptation.jpgQuand les salariés recrutent !
    Dans certaines sociétés de moyennes et grandes tailles, la cooptation est un procédé de recrutement en vogue. Le recrutement par relation est un moyen efficace d'impliquer ses salariés dans le recherche de nouveaux collaborateurs. Ce moyen permet sur plusieurs années, de faire croître ou "tourner" des forces vives. Mais l''entreprise s'expose-t-elle, malgré elle, à des risques de départs groupés ?

    Et si on travaillait ensemble demain ?
    Les aventures professionnelles ont souvent permises de fédérer et créer des équipes "fortes", réunies parfois au delà même des horaires et mûrs du bureau. Mais dans le cas de la cooptation, le lien existe déjà, et se consolide dans le cadre professionnel. Dans ce cas, le partage de valeur, de méhodes, d'univers professionnels, peut créer plus qu'un renforcement de lien mais également une prise de conscience de l'organisation de ces liens au sein, d'un groupe d'amis/ collaborateurs !

    Je pars avec mes amis car ils font désormais partis de ma stratégie professionnelle !
    Qu'en est-il du départ d'un salarié issu d'un groupe soudé de collaborateurs ? La cooptation provoque des "assemblages" amicaux et professionnels parfois difficile à défaire. Il peut être stratégique de partir avec ses amis, voire de monter un projet collectif (réseau de free, entreprenariat, recrutement de l' "équipe", etc...).

    Les risques de départ groupés, sont-ils connus et bien maîtrisés par les sociétés ?
    Méthode jeune ou éprouvée, la fuite des compétences est un phénomène réel, mais rare. On parle plus sérieusement de la fuite des cerveaux du territoire national. Bien que le phénomène de départs groupés soit marginal, nous pourrions à l'échelle d'une entreprise tout à fait prévoir l'impact important que pourrait avoir un départ groupé d'un "noyau dur" sur un pôle métier, d'un service, d'une cellule plus vaste (bureaux, filiales, la société même).

    Lecteurs, connaissez-vous ce phénomène dans votre entreprise, l'avez-vous vécu ou initié, et comment le maîtrisez-vous ? Il serait très intéressant de connaître vos points de vues, alors n'hésitez pas à poster vos commentaires, acteurs, bénéficiaires ou demandeurs de cooptation (ou juste avoir un avis)...

    Merci et bon surf.
    stéphane th.

     

    Pin it! 0 commentaire
  • De la Verdure au bureau ?

    Envie de verdure sur votre lieu de travail ?

    Ma plante est sur un coin du bureau depuis près d'un an et même si elle demande très peu d'entretien et que par conséquent je m'en occupe peu, je crois que je ne pourrais pas me passer de cette touche verte (la seule dans l'agence qui m'emploie, que je quitte ce vendredi d'ailleurs !).

    Etes-vous "bon communicant" ?
    Il y'en a pour qui la présence de plantes vertes, voire de fleurs est essentielle. Si Les plantes habillent un lieu, les fleurs personnalisent davantage. L'idée de verdure au travail participe aussi et surtout à une ambiance soit plus agréable et sympathique. Dans certains secteurs, c'est une valeur ajoutée importante pour l'acceuil du public (salon de coiffure), mettre en confiance des cadres ou dirigeants (cabinets de conseil, services) ou la salle d'attente de votre médecin (on y reste toujours trop longtemps)...

    medium_compositionflorale.jpgParfois très design ou simplement en accord avec une saison ou des couleurs "d'entreprise", les compositions fleuries sont plus coûteuses mais inspirent plus de créativité et de réactivité aux visiteurs. Cela reste entre nous, mais il semble que les inspecteurs de impôts n'apprécient pas ces dépenses et pensent que les frais de "décorations florales" sont hors propos dans l'exercice d'une activité professionnelle quelqu'elle soit ! 

    La végétalisation des espaces de travail participent pleinement à la communication et à la caractérisation des lieux. Souvent sous estimée, la place du végétal est à mon sens essentielle tant sur un plan communication externe, que pour le moral des équipes en place. On constate que les modèles inspirés, et dits à l'américain comme Google, PriceMinister et d'autres jouent sur des architectures intérieur/ extérieur et par conséquent sur le végétal.

    Néanmoins quel doit être la juste place de la végétation dans votre univers professionnel, les plantes influencent l'ambiance et l'humeur d'un lieu. Il ne reste pas moins, que c'est une question plus marginale sur les sites de productions.


    Etes-vous "convaincu" ?
    medium_adopteruneplante.jpg
    Les convaincus sont les plus résistants et les plus assidus. Personne ne peut les empêcher d'avoir une plante au moins au bureau. Longtemps incarné par la secrétaire dévouée (je ne stygmatise pas la preuve), les convaincus de la verdure au bureau sont de plus en plus nombreux et il semble que le dirigeants se laissent prendre par cette tendance. Les plantes permettent d'intaller un climat de confiance et une intimité sur le lieu de travail. Les salariés sont plus détendus et partagent plus volontier entre eux. Les zones vertes constituent des lieux privilégiés de pauses propices à des échanges "plus informels". Les sociétés de services misant sur le bien-être et par conséquent sur la productivité de ses salariés, ont compris l'importance du cadre de travail.


    Etes-vous  "sceptique" ?
    medium_plante_bureau.jpg

    Les sceptiques sont capables de cacher vos plantes derrière un store, un bureau, ou oublieront lors de vos vancaces d'y mettre un verre d'eau. Je deviens mauvaise langue. Car certains sceptique vous propose une trêve des hostilités "verte".
    Un ami un jour m'a dit qu'il avait fleuri son appart... Choqué par cette initiative improbable de sa part, j'ai demandé à voir... Et là choqué à nouveau !!! Des fleurs lumineuses, des cactus gonflables, du gazon en plastique sous la table de salon, où suis-je ?

    On adhère ou non, mais les amateurs de verdures ne peuvent que sourire de cette initiative et se réjouir au final d'avoir su insipirer une forme d'auto-dérision.


    Il n'y a pas de standard en matière de décoration de locaux, et encore moins sur la présence ou non du végétal. cependant on peut constater le rapprochement des français avec les arts de vivre, dont le jardinage, encore bon leader de nos loisirs nationaux. On accorde volontier au végétal sur le lieu de travail, dles bienfaits comme la détente, et la convivialité. De plus l'aspect communicant des "intérieurs verts" flattent l'image des entreprises par des symbolisations de fraîcheur, dynamisme, rigueur, ou bien encore la créativité, la profusion, etc...
     
     
    En vrac quelques liens pour illustrer le propos:
    Lien :
    Adopter une plante de bureau
    Image insolite : la place des plantes au bureau
    Pratique : http://www.truffaut.com/ ; http://www.jardiland.fr/ ; http://www.interflora.fr/cadeau/sommaire.htm ; http://www.aquarelle.com/pages/fr/shop.htm?sapa=01_googlefr_adw_aquarelle&code_regroupement=GOOGLE

    A vous de réagir sur ce sujet !!! Merci
    stéphane th.

    Pin it! 11 commentaires
  • Mondialisation, côté Jardin

    Beaucoup de discours théoriques et économiques côté couloir
    (je réagis à chaud à l'émission Ce soir ou jamais sur France 3)

    Les campagnes présidentielles menées, amènent des débats intenses et tout azimut sur l'Europe, et les questions de la mondialisation. Les candidats et les journalistes cherchent à extraire et manipuler un maximum d'informations pour instruire, semble-t-il l'électorat. Je laisse pour cette note les politiques à leur problématiques économiques, à défaut d'être politiques (???). Bref... Je viens ce soir vous parler des questions de la culture au sein de la mondialisation par de brèves interpellations...

    Sans vouloir poser une opinion, je m'interroge !

    Artisanat et art : Comment doit-on interpréter, qu'un tapis traditionnel oriental puisse être (à moindre coût - je n'ai pas pu m'en empêcher !!!) tissé en Chine ? La confusion s'installe déjà, et dans le futur les valeurs culturelles d'un objet seront-elles encore connues des acheteurs ???

    Identité linguistique : Comment envisager à terme la préférence anglo-saxone de la langue dite "professionnelle" avec comme perspective que nous soyons tous anglophones, et francophones peut-être, réduit alors à une dite langue régionale ?

    Terroir : Pouvons-nous digérer l'idée selon laquelle les champignons de Paris se cultivent aujourd'hui dans des hangars de l'est de l'Europe ?

    Vie citoyenne : Il s'agirait de parler d'éthique. On constate que les pays pronant la paix des peuples, fournissent encore les pays dits émergents dans la course à l'armement ... Parce que les pays riches et indépendants usent eux-mêmes d'une croyance historique selon laquelle la paix se maintient aussi par les armes (nucléaire ?)...

    Quels seront les repères culturels des générations à venir, face à l'incohérences gastronomiques, linguisitiques, artistiques, et religieuses ??? En quoi la mondialisation peut assurer la préservation des valeurs humaines, théologiques ou autres, évoquées et oubliées de cette note ?

    Pouvons-nous nous permettre de faire cet amalgame ? Mais peut-on nier les relations multiples et croisées qui accompagnent des influences économqiues  ou politiques ???

    Stéphane, bon surf.

     

    Pin it! 0 commentaire
  • Avez-vous une dette envers l'internet ?

    Je viens à me demander si nous n'avons pas tous, une dette envers l'internet. J'imagine que peu ou pas une personne, en France tout au moins, n'a jamais eu le sentiment d'avoir eu les moyens ou d'être arrivé à ces fins grâce à l'internet. Si cette dette n'est pas toujours quantifiable en terme de résultats, elle semble souvent être de l'ordre du bien fait !

    Avez-vous une dette envers la polyvalence ?
    Avoir accès à la culture, se sentir entendu, se révéler à l'autre, fédérer à une idée, une communautée pour se sortir de la solitude, accéder à un emploi, ou trouver une pièce de collection que vous n'espériez plus trouver chez l'antiquaire du coin... toutes ses choses qui font que votre vie d'aujourd'hui semble plus facile, riche et rapide...

    Avez-vous une dette envers la performance ?
    Vous arrive-t-il de vous féliciter de vos ventes en ligne ou de la gestion de vos ressources ou de vos opportunités professionnelles obtenues grâce à l'outil internet ? je pense que nombreux sont ceux qui ont vécu de la naissance puis de l'explosion de l'internet, et ceux qui en profite encore aujourd'hui, dans une économie numérique jadis sulfureuse, aujourd'hui plus stable et pérène. L'internet est devenu un outil multi-tâches libre de toutes fonctions et de toutes communications. Il est le couteau suisse idéal, que tout le monde rêve de posséder tellement il est pratique, et parfois dans des cas improbables (un couteau suisse libre et open source).

    Avez-vous une dette envers vos co-utilisateurs ?
    J'en viens à nouer l'article à une autre question que je me pose depuis quelques semaines. Sommes-nous redevables envers les lecteurs de nos blogs, les visiteurs de nos sites ou tout autre témoin de l'utilisation faite de l'internet, et qui implique une relation co-latérale ? J'ai le clavier en berne, je dois l'avouer... Faute de motivation, de temps ou une remise à plat de mes objectifs et priorités, je ne saurai le dire ??? Il faut bien se poser ces questions de temps en temps. Ce qui me tiraille chaque matin, est, ce que je pense devoir à mes lecteurs... Ils existent, ils sont là de passage ou régulier, à l'affût d'une rupture du silence...

    Et vous quelle relation avez-vous avec l'internet ?
    Je serai tenté de penser que nous sommes libres, chacun, de considérer nos priorités et nos devoirs envers l'internet... Si l'état de dette est avéré, entre vous et l'internet, alors une relation de soumission s'installera à votre insu ou non. Vous vous sentez redevable, d'abord en lui donnant plus de place encore dans votre vie. Héritage ou dû du progrés technologique du XX, vous le prenez à votre compte et multipliez les besoins, et ses utilisations... L'internet colonise le moindre de vos besoins ou la moindre de vos attentes (emploi, commander un produit, un voyage, repérer les meilleures affaires, voir vos films, télécharger votre musique favorites, etc...).

    Alors ! Avez-vous une dette envers l'internet ???

    Pin it! 2 commentaires
  • Second life sur le divan

    medium_secondlife.jpgSecond life est un espace de vie virtuelle, en évolution perpétuelle, au gré de millions de connectés. Comme dans la vie de chacun, les communautés se créent, s'aditionnent, se divisent... On parle beaucoup de l'espace de tous les possibles, où certains d'entres nous trouvent la liberté d'évoluer, voire de se créer une vie parallèle et virtuelle.

    Paradis virtuel, chiche ou pas chiche ?
    Comment pourrions- nous croire qu'un paradis même virtuel est possible, à partir du moment où comme dans second life l'économie, la politique et par conséquent les dérives s'invitent ?
    Il faut être conscient qu'en dehors du potentiel tant matériel que sociologique de cette vie virtuelle, elle ne demeure pas moins une copie de notre vie "bien réelle". Elle rencontrera les travers sociétales et comportementales que nous refusons parfois d'admettre et de combattre dans notre propre environnement. La violence, la discrimination ou l'humiliation constituent une liste encore maigre des dérives possibles de ce "monde virtuel".
    Je ne dis pas que le phénomène est négatif ou "dénonçable". je pense simplement qu'il nous faut garder de la distance, faire preuve de morale à l'encontre d'un monde, pourtant, dans lequel les internautes aimeraient pouvoir s'abandonner.

    Ne pas être naif ?
    La discrimination sera présente : le physique est une variante réelle laissée au choix de l'internaute, et par souci de représentativité, comporte tous les looks, toutes les "appartenances communautaires, ethniques". de plus, des schémas économiques réelles, dictent ici aussi leurs lois et distillent les notions de gagnant/ perdant, celui qui possède et celui qui ne possède pas, celui qui est connu, reconnu ou non...

    "Et si on externalisait le conscient"
    Utiliser consciemment un outil virtuel pour créer ce que je ne suis pas. Fruit de mon inconscient ou fruit de mon désir, les profils Second life constituent une gigantesque source de profils psychologiques, sociologiques, culturels et autres qui se prêtent malgré ou bon gré à l'exposition et donc l'exploitation des ceux-ci. Demain les cabinets marketing, psychologiques, auront intérêts à conduire sur Second Life des études comportementales. L'intérêt est d'autant plus évident que ce monde virtuel reprends à son compte des codes concrets de richesse (les boutiques en ligne/ argent réel), les idéologies (parties politiques présents sur le site), demain peut-être des édifices religieux, etc... Les internautes utilisateurs seront plus ouverts à l'étude, et plus francs à priori si on leur demande s'il vote front national ou s'il achète des dessous latex, puisqu'ils sont couverts par l'anonymat. Ils pourront même être plus extrêmes dans leurs actes et leurs "pensées".

    Ce n'est qu'un point de vue néofite, et vous, qu'en pensez-vous ?
    Merci stéphane th.

    Pin it! 2 commentaires