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web 2.0

  • Intranet : le plus 2.0

    On ne cesse de le recommander, voire le promouvoir.

    Faire adhérer vos collaborateurs au futur intranet
    "Customisation, personnalisation et innovation : atouts clés d'un intranet dynamique
    'Difficile dans le contexte actuel de ne pas rester insensible aux sirènes du Web 2.0 et de ses interfaces innovantes. Ajax, drag&drop, blog/wiki, RSS : autant de technologies qui confèrent une certaine modernité à l'intranet et s'avèrent à même de faciliter l'adhésion des utilisateurs. Une dose de SSO, deux pincées d'interfaces riches, trois zestes de personnalisation sont les premiers ingrédients d'un intranet 2.0 réussi."


    extrait d'article du JDN - Source

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  • Lancement de Jamespot en France

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    Jamespot, un nouveau service de partage et d’échange sur l’infosphère du web 

    Le site de partage et de commentaires d’articles lus sur l’immensité du web, a été créé en 2006. C'est seulement depuis début 2008 que le site est arrivé en France. D’abord créé pour le grand public, la puissance de cet outil peut intéresser les professionnels et à terme devenir un outil de partage de la connaissance puissante à l’instar de Del.ico.us ou Digg.

    A l’origine de ce nouveau service, Alain Garnier, co-fondateur de l'éditeur de logiciels Arisem. Après avoir cédé sa société à une groupe français, Alain Garnier s’est orienté vers le web, devenu ces dernières années moteur de comportements  nouveaux à la fois grand public et professionnels. La dynamique commune de ces publics allait finir de convaincre Alain de quitter le monde du logiciel pour celui du web. La montée en puissance des moteurs de recherches comme Google démontre à cet entrepreneur, qu’il devra proposer un service complémentaire, de niche pour ne pas s’attirer la foudre du géant. Il mise alors sur l’après recherche, et dynamise la remontée des informations grâce à un moteur de Flux RSS.

    Le site permet de construire des communautés réunies autour de centres d'intérêts, où chaque membre peut monter et animer ses propres pages, ensuite rendues publiques ou non. Pour parvenir à ses objectifs de résultat, le site fait le pari d’être largement accessible et diffusé et pour cela investit dans la traduction rapide et « massives » du site (10 langues) : français, anglais, espagnol et portugais (avec des modérateurs) mais également en italien, allemand, russe, néerlandais, japonais et chinois (sans modérateur).

    Nouvel outil communautaire à tester et à suivre...
    MAJ Nouvelle interface vue le 10 avril 2008
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  • Etes-vous un geek ?

    Chacun peut être amené à se poser la question ou chercher à identifier ce qu'est un geek. Vous lisez des blogs, surfer sur le web plusieurs heures par jour,  y faites même vos commandes et réservations, êtes friands de widgets en tous genres, de campagnes online, et tout ça pourquoi ? Vous êtes un geek, accroc à la technologie web et à  ses possitbilités. Vous êtes peut-être même "spécialisé" dans le web 2.0 ou les outils informatiques, ou encore de la technologie elle-même ?

    Alors, quel profil avez-vous ? Faut-il être un geek pour cotyoer le monde du web d'aujourd'hui, qui évolue rapidement, sans cesse ? Est-ce une addiction positive ou plus perverse ? Faut-il se méfier des geeks ?

    lu hier à ce sujet sur le blog de vanina

    bon  surf. Stéphane
    Un peu de second degré dans tout ça pour éviter la polémique sur l'addiction ou tout autre discours d'appartenance extrême.

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  • Site web, le contexte au coeur du projet...

    MAJ le 04 07 2007 (solutions en italique/ fin de paragraphes)

    Lancé un projet de refonte ou de création de son site internet mobilise de l'énergie et un coût non négligeable. Beaucoup de compétences sont mobilisées, de la com. aux experts métiers qui interviennent pour les contenus, et  autres profils (webmaster interne, direction commerciale pour un projet e-commerce, service informatique, photographe interne, dirigeants parfois, etc...). Ce type de projet peut rapidement nécessiter une forte implication de vos collaborateurs, et mobiliser finalement plus de personnes que imaginé au départ.

    Il faut pouvoir évaluer et maîtriser l'engagement
    Que vous disposiez d'un service communication détaché ou de collaborateurs polyvalents prenant en charge ce projet, la question de l'implication doit être au coeur de votre expression de besoin. Il n'est pas rare de constater qu'un client demande la création d'un espace ou d'un support événementiel tel que le blog, l'admin de brèves, une vidéothèque ou médiathèques... Mais encore faut-il dès le début de la réflexion, mettre en face de ses besoins, des moyens réalistes et pérenne pour créer, et alimenter en interne cette demande (si ce choix est fait).
    Au delà de ces aspects très rationnels, il se pose également la question de l'implication de votre équipe durant la réalisation du site. Je pense entre autre à qui rédige les contenus, les traduit si nécessaire, fait la sélection iconographique, corrige et vérifie les différentes phases de conception, ou bien encore, qui organise et anime les réunions de travail. La création d'un site internet pertinent et de qualité, est gourmande en temps...
    > Une solution : Prévoir un brainstorming "ouvert à tout salarié motivé" avant la définition du projet, et son démarrage.

    Eviter la dispersion
    Plus souvent que vous ne pourriez le croire, l'agence web doit faire un travail de coaching et d'accompagnement des collaborateurs clients pour s'assurer qu'ils sont alertes et critiques tout au long du projet et qu'ils restent impliqués malgré des discours "incompris" ou des phases moins plaisantes (je pense à la partie plus technique des projets). Un grand nombre de salariés qui gravitent autour des acteurs désignés du projet, seront investis eux aussi dans celui-ci, "souvent considéré récréatif mais également stratégique" par les salariés.
    > Mettre en place une méthodologie de suivi, simple et "au fil de l'eau". Eviter hausse et baisse d'occupation (planning fluide)

    Les risques de rendez-vous manqués
    Il arrive que les projets web par leur importance ou par leur pouvoir naturelle d'attraction sur vos collaborateurs, devienne un sujet central qui galvanise vos équipes. Le risque de cette implication est de voir vos équipes manquer des occasions formidables de communication parallèles, croisées, ou nouvelles. J'ai deux exemples en tête : 1/ Le chef de projet réalise souvent trop tard, qu'il peut anticiper sur le planning de réalisation du site web pour soit une présentation interne (forum métier, conseil d'administration, formation,...). 2/ Que le site peut être un vecteur de messages nouveaux et transverses, par exemple appuyer une campagne papier ou Tv, alimenter un discours sur la sortie d'un produit. Ces deux exemples s'appuie souvent sur un même constat. Le planning est fondamental et doit pouvoir inclure des besoins plus vastes que le seul site à produire. Ils se différencient aussi par les cibles et contextes, pour l'un il s'agit d'asseoir le média ou son discours en interne, pour l'autre il s'agira de donner du corps et de la résonnance à une stratégie de communication vers l'extérieure (client, prospect, grand public, etc...).
    > Faire une communication transverse et inter-services avant le démarrage du projet. Une étude de contexte "marque".

     Enfin, ne pas perdre de vue l'objectif... et l'atteindre
    Il faut identifier dès le début l'objectif principal et incontournable du projet web, et savoir entendre quand il est nécessaire de la faire évoluer en cours de projet. Il faut accepter de revoir sa position et engager une négociation avec le client dans ce sens, ou bien pouvoir habilement faire entendre au client le risque que représente un changement d'objectif trop brutal, ou tardif. Certains projets seront pilotés par des impératifs de délais, de budgets ou encore d'objectif à atteindre. Chacun de ces objectifs recquièrent des dispositions et des critères de vigilances différents, qui obligent à bien identifier la marge réelle de "mouvement" ou de non-mouvement du périmètre de l'offre commerciale, mais aussi de réalisation. Il s'agit de définir ce qui sera une évolution mineure (prise en compte dans le projet initial), d'une version n+1.
    > La fin justifiant les moyens, définir et challenger les équipes sur des objectifs collectifs (et indivisuels à la fois) est un procédé motivant pour le groupe, en plus de la personne qui se sent, à son niveau investie aussi (ce projet te permettra de monter en compétence sur...).

    Loin d'être exhaustive, cette note vous aura donné quelques éléments de réflexion quant à la mise en route d'un chantier numérique, du moins je l'espère !

    Bon Surf. Stephane

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  • Second life sur le divan

    medium_secondlife.jpgSecond life est un espace de vie virtuelle, en évolution perpétuelle, au gré de millions de connectés. Comme dans la vie de chacun, les communautés se créent, s'aditionnent, se divisent... On parle beaucoup de l'espace de tous les possibles, où certains d'entres nous trouvent la liberté d'évoluer, voire de se créer une vie parallèle et virtuelle.

    Paradis virtuel, chiche ou pas chiche ?
    Comment pourrions- nous croire qu'un paradis même virtuel est possible, à partir du moment où comme dans second life l'économie, la politique et par conséquent les dérives s'invitent ?
    Il faut être conscient qu'en dehors du potentiel tant matériel que sociologique de cette vie virtuelle, elle ne demeure pas moins une copie de notre vie "bien réelle". Elle rencontrera les travers sociétales et comportementales que nous refusons parfois d'admettre et de combattre dans notre propre environnement. La violence, la discrimination ou l'humiliation constituent une liste encore maigre des dérives possibles de ce "monde virtuel".
    Je ne dis pas que le phénomène est négatif ou "dénonçable". je pense simplement qu'il nous faut garder de la distance, faire preuve de morale à l'encontre d'un monde, pourtant, dans lequel les internautes aimeraient pouvoir s'abandonner.

    Ne pas être naif ?
    La discrimination sera présente : le physique est une variante réelle laissée au choix de l'internaute, et par souci de représentativité, comporte tous les looks, toutes les "appartenances communautaires, ethniques". de plus, des schémas économiques réelles, dictent ici aussi leurs lois et distillent les notions de gagnant/ perdant, celui qui possède et celui qui ne possède pas, celui qui est connu, reconnu ou non...

    "Et si on externalisait le conscient"
    Utiliser consciemment un outil virtuel pour créer ce que je ne suis pas. Fruit de mon inconscient ou fruit de mon désir, les profils Second life constituent une gigantesque source de profils psychologiques, sociologiques, culturels et autres qui se prêtent malgré ou bon gré à l'exposition et donc l'exploitation des ceux-ci. Demain les cabinets marketing, psychologiques, auront intérêts à conduire sur Second Life des études comportementales. L'intérêt est d'autant plus évident que ce monde virtuel reprends à son compte des codes concrets de richesse (les boutiques en ligne/ argent réel), les idéologies (parties politiques présents sur le site), demain peut-être des édifices religieux, etc... Les internautes utilisateurs seront plus ouverts à l'étude, et plus francs à priori si on leur demande s'il vote front national ou s'il achète des dessous latex, puisqu'ils sont couverts par l'anonymat. Ils pourront même être plus extrêmes dans leurs actes et leurs "pensées".

    Ce n'est qu'un point de vue néofite, et vous, qu'en pensez-vous ?
    Merci stéphane th.

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