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avis personnel

  • La précarité ergonomique issue des nouvelles technologie

    Est-ce bien raisonnable de poser un titre de note aussi peu réécrit ?
    C'est une formulation spontannée de mon esprit. La vidéo ci-dessous me rappelle à une sensation que je tente de modéliser en ce moment. Les devices personnels par leur petite taille et leur "simplicité" m'évoquent en quelque sorte une précarité ergonomique qui serait issue des nouvelles technologies. J'entends une précarité au sens pénurie d'espace, de confort, de naturel et non sociale (of course). Je me demande alors, si nous devons nous féliciter de lire une revue de référence sur iPhone, lire une oeuvre littéraire sur écran, un site de presse en mode "flux", ou encore jouer (pire apprendre) d'un instrument de musique sur un écran aussi tactile et intuitif soit-il ! La question se pose évidemment pour les plus petits devices que nous consommons. Les tablettes déjà, par leur format résolvent quelques précarités de lecture citées avant.

    Les projets musicaux ou artistiques sur mobiles et tablettes sont souvent surprenant, d'une facture honnête et issue d'une démarche sincère, mais nous sommes en droit de nous interroger sur l'avenir d'une telle évolution. Nos enfants seront des virtuoses du clavier sur iPad sans avoir un jour demandé à encombrer le salon d'un piano ou à réquisitionner le garage pour leur groupe de rock. L'inconfort visuel des plus petits écrans, la complexité de prendre aisément à pleines mains des supports miniaturisés et d'autres sensations de notre "diminution physique" s'inscrivent dans les interrogations liées à l'émergence de l'ergonomie tactile "du bout des doigts" et non dans des doutes, ...

    De l'aveu de tous, le tactile offre une expérience heureuse à ses utilisateurs. Au prix de quelle autre contorsion ?

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  • Révolte constructive autorisée !

    Les temps sont induscutablement tendus et les relations intra-professionnelles à nouveau anxiogènes.
    Finies les congratulations extravagantes et les actions "opportunistes" (exit la génération héroïque), l'heure est à la transparence, la collaboration et la remise en question constructive des modèles. Si dans de nombreuses structures les compétences sont mises à plat (cartographie des savoirs), la capacité financière évaluée, et les collaborateurs testés pour leur force psychologique à aller de l'avant, il reste à savoir orchestrer le tout. On revient pour cela à des données clés que sont : avoir des process clairs, des démarches optimisées, une communication renforcée et permanente, une transparence de tous les instants, et favoriser la solidarité managériale pour que soit partagée une vision forte et réaliste. Le plan général de l'entreprise doit permettre de donner des réponses adaptées à chacun, en terme de perspectives, de garanties, de visions, et de challenges, etc...

    Les salariés sont souvent critiques faute d'informations, reprochant tantôt la prudence des structures alors interprétée pour de l'attentisme ou bien ne comprennant pas une apparente prise de risques. Les entreprises observent les effets de la crise, et batissent jour après jour des visions moyens termes renforcés et longs termes à forte probabilité. Les salariés ont besoin de se sentir impliqués pour mieux gérer les coups durs et être moteur des temps forts de l'entreprise.

    Il semble toutefois révolu le temps où les succès du vendredi faisaient oubliés les soutenances déterminantes du lundi !

    Comment évoluent les choses de votre côté ?
    Quels choix personnels et/ ou collectifs avez-vous fait pour aller de l'avant ?

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