Révolte constructive autorisée ! (mercredi, 15 avril 2009)

Les temps sont induscutablement tendus et les relations intra-professionnelles à nouveau anxiogènes.
Finies les congratulations extravagantes et les actions "opportunistes" (exit la génération héroïque), l'heure est à la transparence, la collaboration et la remise en question constructive des modèles. Si dans de nombreuses structures les compétences sont mises à plat (cartographie des savoirs), la capacité financière évaluée, et les collaborateurs testés pour leur force psychologique à aller de l'avant, il reste à savoir orchestrer le tout. On revient pour cela à des données clés que sont : avoir des process clairs, des démarches optimisées, une communication renforcée et permanente, une transparence de tous les instants, et favoriser la solidarité managériale pour que soit partagée une vision forte et réaliste. Le plan général de l'entreprise doit permettre de donner des réponses adaptées à chacun, en terme de perspectives, de garanties, de visions, et de challenges, etc...

Les salariés sont souvent critiques faute d'informations, reprochant tantôt la prudence des structures alors interprétée pour de l'attentisme ou bien ne comprennant pas une apparente prise de risques. Les entreprises observent les effets de la crise, et batissent jour après jour des visions moyens termes renforcés et longs termes à forte probabilité. Les salariés ont besoin de se sentir impliqués pour mieux gérer les coups durs et être moteur des temps forts de l'entreprise.

Il semble toutefois révolu le temps où les succès du vendredi faisaient oubliés les soutenances déterminantes du lundi !

Comment évoluent les choses de votre côté ?
Quels choix personnels et/ ou collectifs avez-vous fait pour aller de l'avant ?

| Lien permanent | Commentaires (1) | | |