Même des pastilles rafraîchissantes Smint.

La fidélisation selon Smint, c'est l'histoire d'une quête non pas érotique, quoique... une quête aux points ! Pour cela la mécanique est simple : des pastilles à la menthe contre des points fidélité. L'objectif : pouvoir se procurer une ou plusieurs accessoires érotiques grâce à ces points cumulés,. Défi de la marque (si on pousse le vice) : Encourager ses consommateurs à découvrir de nouvelles sensations, avec ses produits ?

Qui pouvait imaginer qu'un jour, consommer des pastilles à la menthe allait ouvrir le droit à une sélection de produits coquins par simple collecte de points fidélité. Si la nouvelle campagne Durex nous a vanté les bienfaits d'une large gamme de produits, accessoires et gels chauffants ou encore rafraîchissants, celle-ci brise les codes les plus établis : mêler sexe et "aliments" dans la publicité.

A la fois très impertinente et créative, cette campagne réveille en moi un sentiment usé (de déjà trop vu) qui fait du consommateur un hédoniste avéré. Il attend frustré, d'accomplir un acte de liberté et de plaisir personnel. Le simple fait d'utiliser une imagerie érotique le renvoi à ses désirs et besoins de possession... des produits Smint ?

Le site SMINT.ME montre une marque dynamique, créative et "fraîche". Elle appartient à Chuppa Chups, ce qui peut expliquer quelques gènes communs d'impertinence, de créativité, et d'une facilité au "décalé"...

via Influencia / le site Trendwatching.com parle d'une stratégie inspirée d'une tendance baptisée le ″maturialism″.

Tandis que la chambre des représentants américains annonce le rejet du plan de sauvetage évalué à 700 milliards de dollars, on peut lire dans L'Expansion un "portrait" de la banque de demain. Avatars, écrans numériques, remontées automatiques de dossiers client et "auto-suggestion" informatique sur les produits et offres à pousser auprès de celui-ci, "guichetiers androïdes" sont autant de perspective de notre "parcours bancaires" ! C'est en France, à Sofia Antipolis que cette banque du future est installée et testée grandeure nature.

Cela fait un moment, que j'aborde ces sujets avec certains de mes clients du service. Le tout numérique est pour demain. Nous en étions conscient, sans pour autant mesurer à quel point l'innovation devriendra très bientôt réalité. Sommes nous totalement prêt à franchir ce cap ?
La question du chômage, de la confidentialité et sécurité des données numériques personnelles, de la relation client, sont quelques uns des sujets que la technologie ne saura résoudre seule. Nous avons encore beaucoup à faire en accompagnement du changement dans les entreprises, et ensuite auprès des publics cibles.

Le sujet de la banque de demain semble mobiliser les esprits depuis 2004 au vue des très nombreux articles trouvés ce matin, comme pour aborder une mutation irrémédiable et profonde de la profession, voire de l'économie mondiale. Une réforme annonçait par certain et craint par les autres, semble pouvoir prendre forme au lendemain du refus de la chambre des représentants américains. Si Jeudi prochain au prochain scrutin de la chambre les choses se confirment, alors nous nous en remettrons aux plus optimistes, qui disent déjà qu'après la pluie viendra le beau temps !!! 

 Ils en parlaient déjà en février, comme d'un projet...