Ah si ! En plus d'être une référence, c'est un clin d'oeil à l'un de mes articles : celui là ! Je vous invite à entrer dans la rubrique Accessories et Collections puis Lifestyle Accessories Shop

il me vient trois profils, que je dresse immédiatement et synthétiquement pour les partager avec vous :

-> Celui qui adhère à la formation qu'il lui est dispensée, impliquant un accord moral sur les valeurs, les savoirs et pratiques ainsi que sur la personnalité du formateur potentiellement (quel pro est-il ?). Mais cet acceptation implique surtout, tout au moins un temps, une vision de son travail, pour laquelle il modifiera peut-être ses propres "procédés". Il soumet son travail, à la pratique d'autrui.

-> Le second plus critique suit la formation, mais est interpellé ponctuellement, parfois même formule un désaccord qu'il va considéré secondaire le temps de l'analyser. Il s'applique à prendre le meilleur de la formation : les usages, pratiques, et encore une fois la personnalité du formateur, qui le renvoie à ce qu'il pourrait devenir. Mais celui-là reste lucique, il prend et restituera ensuite, à sa manière peut-être, les acquis. Il prend le temps d'en décider.

-> Enfin, le cas le plus perturbant, qui se traduit à l'extrême par une obsession quasi compulsive à ne pas adhérer aux propos, et aux bonnes pratiques reçues. C'est une situation de blocage à la fois, pour le bénéficiaire et le formateur. Comment se sortir d'une situation à priori vouée à l'échec ? Et quel échec réel (personnel, professionnel, uniquement relationnel entre les deux complices espérés ? Et quelles conséquences concrètes ?

Avez-vous un avis, un exemple, un retour d'expérience personnel ?
La formation implique-t-elle une adhésion partielle, ou totale du candidat ?

Sur mon temps perso et ce depuis 8 ans maintenant, je pratique l'aquariophilie. Ok, je vous vois venir, pas très fun, pas branché... mais tellement intéressant. Bref je ne vais pas tenter de vous convertir ce soir (ni de m'expliquer).

Je pense souvent à un lien possible entre mes deux passions, qu'est vous l'aurez compris pour l'une l'aquariophilie et la seconde plus évidente encore, le web... L'heureuse épidémie de widgets pointe son nez depuis quelques temps, et depuis la sortie de la récente campagne de promotion UPS sur son "super assistant", on assiste à une réelle montée en flêche des demandes. 

Dans ce contexte, je me mets à imaginer pour mon bac amazonien, un widget qui puisse maintenir les conditions de vie en lien avec l'environnement d'origine. Je m'explique, et bien que je sache que tous les poissons viennent maintenant d'élevage indiens ou asiatiques, j'imagine un lien entre "ici et là-bas" !

Un dispositif reliant une pompe CO2 (et oui il en faut pour les plantes), un thermomètre, une gestion de Ph ou encore l'éclairage, permettrait, sous le contrôle de mon pc grâce à une connexion web et un récepteur wifi de transmettre des informations "réelles" dans le paramètrage de chaque appareil. Le widget évolué sur la base d'un module "météo" pourrait collecter les infos de la région d'origine du bac, et mettre en simultané, nos poissons d'ornement dans des conditions réelles et surtout "irrégulières" (ex : recréer les saisons, essentielles pour la reproduction en bac, en autres). On sait que les poissons délevage sont fragilisés à la fois par les conditions d'élevage (hygiène, surnombres...) mais aussi et surtout par le fait que la vie en aquarium est sans "relief" : pas de saison, un courant rare et trop régulier, des températures homogènes nuit et jour, hiver comme été (pas tout à fait) ...

C'est une idée comme une autre !
bonne soirée.