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DIF

  • Formation et adhésion : comment ça marche réellement ?

    il me vient trois profils, que je dresse immédiatement et synthétiquement pour les partager avec vous :

    -> Celui qui adhère à la formation qu'il lui est dispensée, impliquant un accord moral sur les valeurs, les savoirs et pratiques ainsi que sur la personnalité du formateur potentiellement (quel pro est-il ?). Mais cet acceptation implique surtout, tout au moins un temps, une vision de son travail, pour laquelle il modifiera peut-être ses propres "procédés". Il soumet son travail, à la pratique d'autrui.

    -> Le second plus critique suit la formation, mais est interpellé ponctuellement, parfois même formule un désaccord qu'il va considéré secondaire le temps de l'analyser. Il s'applique à prendre le meilleur de la formation : les usages, pratiques, et encore une fois la personnalité du formateur, qui le renvoie à ce qu'il pourrait devenir. Mais celui-là reste lucique, il prend et restituera ensuite, à sa manière peut-être, les acquis. Il prend le temps d'en décider.

    -> Enfin, le cas le plus perturbant, qui se traduit à l'extrême par une obsession quasi compulsive à ne pas adhérer aux propos, et aux bonnes pratiques reçues. C'est une situation de blocage à la fois, pour le bénéficiaire et le formateur. Comment se sortir d'une situation à priori vouée à l'échec ? Et quel échec réel (personnel, professionnel, uniquement relationnel entre les deux complices espérés ? Et quelles conséquences concrètes ?

    Avez-vous un avis, un exemple, un retour d'expérience personnel ?
    La formation implique-t-elle une adhésion partielle, ou totale du candidat ?

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