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Aston Martin Rapide, la seconde partie du film
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Aston Martin prépare un coup... Rapide
Les marques de luxe ont bien compris que l'expérience unique qu'elle pouvait offrir aux internautes pour cultiver leur désirabilité passe par le Brand Content. Les initiatives cinématographiques se multiplient mettant en scène des acteurs et actrices dans des conditions visuelles dignes du grand écran et avec une réalisation de renom. L'objet convoité devient alors le personnage indispensable à une aventure plus ambitieuse encore que celle de le "consommer". Le personnage central ne nous y trompons pas, est l'Aston Martin Rapide. Son pouvoir d'attraction en fait un personnage désirable, dont les internautes suivront sans aucun doute les aventures.
Dans ce film, Aston Martin met en scène tous les codes de la cible en terme de bon goût, et d'esthétique. On y voit de l'horlogerie de luxe, des lieux branchés et design, des tenues élégants ...
Rendez vous aujourd'hui pour la révélation du second volet du film sur www.astonmartin.com/rapide.
Un long et détaillé making off est disponible sur le site... -
Skol, une marque de bière qui déconne à plein tube !
Idée fun et spectaculaire que d'imaginer un tunnel reliant deux pôles de la terre. C'est un concept qui vit aussi bien en mode film pub (trucages inclus) et en animation "beach marketing". la marque skol m'était inconnue jusque là mais j'aime leur démarche.
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Le consommation collaborative : tendance de fond à ne pas négliger
Je suis profondément convaincu que les usages évoluent avec et grâce à l'omniprésence d'internet et que l'un des métiers les plus anciens n'y échappe pas : le commerce et par conséquent la consommation. On entendait récemment même ne plus devoir considérer le e-commerce puis le m-commerce, mais bel et bien parlé toujours et encore du commerce et de ses évolutions "naturelles" et intrinsèques.
Les modes passent. Les usages s'ancrent bien plus profondément car ils viennent de toutes nos dimensions (humanitaires, globale, sociétales, émotionnelles, physiologiques...)
L'exposé de Rachel Bostman pose clairement le concept de consommation collaborative et évoque la vraissemblance en décrivant les "symptomes" et opportunités de/ pour la société.
