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cycle de travail

  • Gestion du temps de travail

    La gestion du temps de travail est l'affaire de chacun pourrait-on croire. C'est une réalisté au quotidien, et chacun peut dans le cadre de certaines règles, organiser son travail comme il l'entend. Néanmoins le manager garde un rôle essentiel, qu'est celui de préserver la cohérence et la pertinence de votre occupation.

    Débordé(e), préviens ton manager...
    Il est impératif que le manager est une vision réelle et objective des éventuelles difficultés rencontrées par une personne ou une équipe. Il en va selon moi de la santé de l'antité dont ils dépendent. Une équipe à bout, qui ne serait pas soutenu par un manager au courant et impliqué, prend le risque de subir un turn-over partiel ou l'instauration d'une mauvaise ambiance de travail...

    Du temps libre, ne dois pas être perdu !!!
    Il ne s'agit pas de se tourner les pouces ou passer des heures à surfer en vain sur des sites "loisirs" ou multiplier les pauses cigarettes (mauvaises pour la santé). L'essentiel du temps dits libre sur son lieu de travail doit permettre la veille, l'anticipation, l'élargissement de ses connaissance de l'entreprise, de ses produits et services... Il est nécessaire qu'il y ai des moments d'acitvité plus calme, et le manager doit s'avoir les anticiper et les gérer de la même manière qu'une forte charge...

    La maîtrise du temps pour seule arme
    Dans l'équilibre ou non, le temps est toujours une arme ou une alerte efficace contre les dérives morales liées au travail et au stress... D'où l'importance de gérer sa charge de travail avec pertinence (écoute de soi) et sa communication avec son manager.

    Notre nature de manière plus ou moins affirmée, est de privilégier un fonctionnement qu'il soit physique, moral et psychologique, par cycle. Si nous ne vivons plus avec notre horloge biologique, mais résolument contre elle ce siècle, il est important de conserver cette logique de cycle. La charge forte d'activité doit être ou peut être suivi selon les individus, d'une période de recul. Celle-ci n'est pas synomnyme de repli ou de désengagenement mais d'une volonté de se recentrer, se remotiver, se ré-engager dans la dynamique collective. Sous plusieurs formes, cette période d'après "stress" ne se manifeste pas toujours de manière visible. C'est parfois dans la vie privé que l'équilibre est trouvé, et souvent d'ailleurs grâce à un acte "égoïste" ou "communautaire" (petit cercle d'amis proche, famille) : une soirée entre amis, un week end improvisé créant une rupture, une activité forte en adrénaline (appel aux réactions physiques/ une chimie naturelle et indolore), une permission d'accès au déraisonnable (moment parfois alcoolisé, "interdit", chahuté quoiqu'il arrive)... Ce peut même être une soirée entre collègues !!!

    Une phrase que je me répète souvent et qui m'a été transmise dans le cadre sportif pour la gestion du stress en compétition, et que j'applique depuis à un grand nombre de mes activités : "Pour prétendre à la plus haute concentration, il faut savoir créer des moments de déconcentration (totale), essentiels à l'équilibre."


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