Un joli film réalisé par le ballet de new-York sur le toit d'un gratte ciel.

source coolhunter

L'aventure : Pour quoi faire ? est une livre rare, une initiative heureuse dont vous découvrirez la genèse du projet dès les premières lignes. C'est un livre que je recommande à toutes les générations. La jeunesse lira l'importance de l'engagement, le trentenaire que je suis retrouve la saveur de ses envies et rêves de libre arbitre et de responsabilité, et pour tous, ce livre est un hymne à aller de l'avant : Avanti. Il réconcilie avec le désir d'action, dans sa vie quotidienne et pour mener des grandes choses.

Coup de cœur pour ce livre qui m'accompagne dans "mon espace de respiration". Nous avons tous une ou plusieurs bulles d'oxygène en marge de nos activités. Sport et lectures sont les miennes :-)

Cette ouvrage a une valeur symbolique forte car il tente de définir l'Aventure. Il réunit pour cela 11 personnalités de la littérature, du monde de la géopolitique et des expéditions et voyages, des observateurs des civilisations et des journalistes de terrain. Chacun a reçu la mission de définir l'Aventure : pour quoi faire ? Ça donne un livre dynamique, aux "enseignements" évidents et riche de références sur le  sujet. Comme un journaliste qui multiplie et croise ses sources, vous voilà lecteurs d'une définition croisée, multi-sources et documentée avec soin. C'est en ça, un type de livre 2.0, qui fonde sa définition sur plusieurs analyses, des récits biographies et citations bien fournies comme le ferai Wikipedia. Sauf que dans ce cas, Wikipedia semble bien pauvre et creux sur la définition de l'Aventure.

A ce propos, le livre porte un regard récent (2012) et lucide sur la société moderne et montre les nombreuses influences entre pouvoirs politiques et privation de liberté, entre nouvelles technologiques et recul de la créativité, entre ignorance des civilisations et tourisme de masse au bout du monde...

Facile à lire, livre à dévorer : Je le recommande particulièrement aux lycéens et étudiants. Il apporte un éclairage sur l'Humanisme, l'Engagement, la Découverte du Monde, le Courage, le désir d'Aventure, la Responsabilité de chacun, le Risque et le Sens à donner à sa vie...

Un titre de presse m'interpelle encore sur la réalité du désir d'Aventure. Un patron s'exile 40 jours sur une île déserte

"Un chef d'entreprise va tester le télétravail façon Vendredi ou la vie sauvage. Le 8 octobre, il partira pour une île au large de l'Indonésie sur laquelle il passera quarante jours. Tout en continuant à travailler huit heures par jour." source Figaro - 17/09.

note perso - Il faut croire qu'il me fallait un sujet "vrai", une découverte significative, une bonne surprise pour revenir à l'écriture. L'envie est intacte mais le temps, mes amis, me manque. A très vite.

Je ne sais pas vous. Mais être jaloux pour les juilletiste ne m'a jamais effleuré. En même temps je les charie volontiers septembre venu. J'aime tant les entendre dire "L'an prochain je pars en août. Marre d'être déjà creuvé quand tout le monde revient. En plus le temps de juillet est toujours pourri".

Quoiqu'il en soit, les vacances des autres ne me dérangent pas et voir mes amis sur Facebook à l'autre bout du monde en octobre, février ou juillet me donne la pêche. Alors je partage ce Tumblr "On pense bien à vous" avec le sourire et non l'idée de vous plomber l'humeur !

Il ne semble pas y avoir de règles, vous devez photographier deux scènes identiques mais aux lieux et contextes différents ou bien opposer deux "états d'esprits" par des objets, citations... L'essentiel est de dire que vous n'êtes pas dans le même délire au boulot et en vacances.

Et vous, c'est quoi votre photo "On pense bien à vous" ?

Grazia parle de "On pense bien à vous"

Découverte d'un projet de signalétique urbaine connectée très inspirant. J'en parlais ici en 2009 au travers du concept Ubimedia qui permettait de penser à des projets de mobiliers et lieux connectés : Des hyperlieux, notion développée avec François Verron, mon binôme Innovation de l'époque et amis.

Au delà de connecter des mobiliers, ce sont les notions d'interactivité des publics, de "jouabilité" de la ville et de vrais services connectés qui motivent ses découvertes. Ces panneaux sont associés à des consoles de contrôle à disposition des passants pour faire une recherche personnelle : un bar pour sortir, des indications d'itinéraires, des informations météo, etc.

Dans mon idéal, ces panneaux seraient solaires pour que l'innivation technologique ne pèsent pas sur des énergies et des modèles économiques obsolètes. L'éthique technologique pousse à imaginer des modèles neutres (énergie), participatifs (usages pour tous), ouverts (opensource) : Découvrir l'article Ubimedia oui mais durable de janvier 2009.

Monoprix s'offre un film de marque sur fond d'humeur.
Enfantin et joueur, le film reste très sobre et propre. C'est une expression qui me parait adpatée, juste sur les codes de marque et surprenante de "gratuité". Une humeur réussie à mon goût même si je regrette que le lien à la marque se perde dans tout cela.