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management

  • Avoir la critique positive serait contre-nature !

    scientifique, étude, cerveau, jugement, société humaineDans les entreprises comme dans la société humaine, nous sommes confrontés au jugement des autres. Tous envieux d'une vie sociale épanouie, nous faisons mine d'incarner la "confiance en soi" et de n'attacher qu'un intérêt modéré ou choisi à l'avis de son entourage. Mais ce serait illusoire voire hypocrite de penser s'affranchir de l'avis extérieur ; comme un refus de socialisation.

    Seulement une équipe scientifique américaine vient de révéler que nous avons une facilitée naturelle à être négatif dans la critique.

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  • Insuffler au quotidien la culture projet à votre entreprise

    Dirigeants, Managers, renouez avec la création de valeurs et la croissance utile. Prenez le temps d'insuffler la culture projet dans votre entreprise pour que vos employés soient plus productifs et aussi plus heureux (supprimer l'inutile, renforcer le collectif). Petit mémo :

    - Organisez des réunions courtes au ODJ clairs.
    - Ne maintenez pas une réunion qui n'est pas préparée ou sans contenu suffisant
    - limitez l'usage du mail à sa fonction clé (sujets moyens termes, échanges de pièces joints ou de livrables validés...)
    - Encouragez la vie sociale hors des groupes de travail et services.
    - Sachez dire à vos collaborateurs méritants que vous appréciez leur leadership, leur méthodologie, leur gestion du temps...

    Ce sont des fondamentaux. Mais comme toutes évidences, elles doivent être rappelées et mises en place. Ces conseils ne sont pas discriminants d'ailleurs et plairont à toutes les générations en poste... Parce qu'il n'y a pas pire que tomber dans la "division pour régner" en cette periode de recherche de sens nécessaire. Opposer par ses pratiqués managériales, Digital Native, Génération Y, X... serait une nouvelle erreur.


    La création de valeur et la croissance ne seront pas retrouvées dans la contrainte ou le règne des dirigeants mais bel et bien dans la capacité d'animer les ressources humaines.

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  • La chance est une compétence qui se travaille

    Très jeune, mon père visiblement bien avisé et décidé à "me mettre en scelle" me répétait : La chance ne s'attend pas, elle se provoque ! Ce soir je comprends mieux la certitude qui l'habitait et finalement le leitmotiv qui nous tiens (face aux revers), nous lie (devant l'effort) et porte notre engagement.

    Finalement racontée de cette manière, la chance apparait réellement comme une opportunité et non plus comme un manque. C'est pour beaucoup le moyen d'être plus serein. Non ?
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  • Restons calme...

    ...ou tout au moins pertinent (évitons la kakophonie) !

    Ce billet, en réaction à chaud à une intention louable qui a fait néanmoins aujourd'hui figure de maladresse et participe malgré elle à alimenter la confusion ambiante. Les conséquences collectives ne sont pas visibles à court terme, mais le message envoyé à certain, sera à moyen terme un risque nouveau pour tous (cf le retour sur la notion de "crise ressentie"). Je résumerai le contexte évoqué à son plus simple appareil : Depuis septembre, et dans un contexte où la crise faisait figure de sérieuse concurrente à la valeur ajoutée des entreprises (comme une fatalité), les relances commerciales enthousiastes (voire effrénées) de tous les sujets anciens et nouveaux font légions, incluant certainement au passage quelques mauvaises idées. Nous assistons à ce qui semble être une "intention louable", qui vise littéralement à bombarder les interlocuteurs d'information (pour les rassurer ? = Je communique donc j'existe !). Si le doute existe en cette période de crise mondiale, avec ses impacts annoncés ou avérés selon votre secteur d'activité (je vous laisse juge), il est néanmoins essentiel de rester pragmatique et organisé. La débauche d'effets et d'intentions constitue malgré toutes vos précautions, le plus souvent un accélérateur dans la diffusion d'une crise ressentie par chacun (vos collaborateurs proches), ou votre organisation (votre société ou groupe auquel vous appartenez). Par exemple, l'explosion non maîtrisée d'intentions managériales pour enrayer les craintes de votre société, de moins vendre ou de devoir se réorganiser, est un signe (ostentatoire) de désorganisation voire de panique laissé à l'appréciation des collaborateurs (et si ces phénomènes sortent de vos murs, vos clients et prospects seront touchés).

    Juste pour revenir sur la notion de crise ressentie ?
    C'est la réalité individuelle de la crise, celle qui est ressentie. Si je ressens une chose, c'est qu'elle existe (première réction subjective de l'individu). L'une des manifestation de cela, est le cas où un collègue vous fait part de ses difficultés, de ses angoisses et que celles-ci font écho à ce que vous vivez. Vous finissez alors par converger vers des ressentis communs, et le recevez comme étant une vérité désormais avérée (partagée) : si nous sommes deux à le ressentir, c'est qu'il existe une réalité à notre malaise !

    Ce que je pourrais entendre par,
    La débauche d'effets : communication tout azimut, réorganisation précipitée, "surenchère" de votre promesse marketing,etc ...)
    La débauche d'intentions : A ne pas confondre avec les initiatives que je considère être des actions souvent nécessaires, à priori plus structurées et concertées que les intentions (entendez action intuitée, menée en marge des modèles et des process). L'intention est la projection d'une pensée vers une action (avoir l'intention de), alors que l'initiative est une action concrète.

    Dans le climat du moment, de nombreuses solutions résideront dans un travail de fond et non de surface. Les faits reprendront leur place devant les intentions, les résultats mesurables devant les opportunités, etc... Et si la crise finissait de faire plier la communication face au marketing, comme on le voit dans certains secteurs hyper-concurrentiels depuis quelques années déjà ?

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  • Formation et adhésion : comment ça marche réellement ?

    il me vient trois profils, que je dresse immédiatement et synthétiquement pour les partager avec vous :

    -> Celui qui adhère à la formation qu'il lui est dispensée, impliquant un accord moral sur les valeurs, les savoirs et pratiques ainsi que sur la personnalité du formateur potentiellement (quel pro est-il ?). Mais cet acceptation implique surtout, tout au moins un temps, une vision de son travail, pour laquelle il modifiera peut-être ses propres "procédés". Il soumet son travail, à la pratique d'autrui.

    -> Le second plus critique suit la formation, mais est interpellé ponctuellement, parfois même formule un désaccord qu'il va considéré secondaire le temps de l'analyser. Il s'applique à prendre le meilleur de la formation : les usages, pratiques, et encore une fois la personnalité du formateur, qui le renvoie à ce qu'il pourrait devenir. Mais celui-là reste lucique, il prend et restituera ensuite, à sa manière peut-être, les acquis. Il prend le temps d'en décider.

    -> Enfin, le cas le plus perturbant, qui se traduit à l'extrême par une obsession quasi compulsive à ne pas adhérer aux propos, et aux bonnes pratiques reçues. C'est une situation de blocage à la fois, pour le bénéficiaire et le formateur. Comment se sortir d'une situation à priori vouée à l'échec ? Et quel échec réel (personnel, professionnel, uniquement relationnel entre les deux complices espérés ? Et quelles conséquences concrètes ?

    Avez-vous un avis, un exemple, un retour d'expérience personnel ?
    La formation implique-t-elle une adhésion partielle, ou totale du candidat ?

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