Plus q'une tendance, il semble que ce soit devenu un incontournable... Nombreux sont les bloggueurs qui ont instaurés le traditionnel post : 5 nouvelles choses que vous ne savez pas sur moi !

L'internet, et plus encore la bloggosphère est un sanctuaire du savoir et du faire savoir, alors en réaction peut-être, ces internautes proposent de vous interpeler sur ce que vous ne savez pas et ainsi fidéliser un lectorat impliqué voire tenté d'une forme de voyeurisme*.

Que va-t-il(elle) nous avouer la semaine prochaine ???

Quelques exemples :
http://blog.ronez.net/?p=509
http://www.nayezpaspeur.ca/blog/2007/01/cinq_choses_que_vous_ne_savez_pas_s.html
http://www.bagatelles.fr/blog/index.php/?2006/12/27/942-five-naughty-things-you-didn-t-know-about-me

* Il faut bien être conscient qu'une part importante du lectorat présent sur la toile est conposé des voyeurs plus que d'acteurs du réseau. 

Et si blogguer n'était pas utile ?

Constat de départ : Google m'a repéré !
Je viens en quelques sortes compléter mon "bilan" sur la visibilité sur Internet. A en croire le moteur google, je ferai mieux de poster des commentaires plus que de blogguer ! Ma recherche : Stéphane thorel - ce n'est pas un excès d'égo mais un moyen de temps à autre de suivre le cheminement des articles de mon blog, des références ou des critiques faites, et très souvent de découvrir des blogs ou sites qui traitent de sujets proches etc...

La visibilité selon Google passerai également (voire davantage) par l'action de poster un commentaire sur une note. En laissant un commentaire sur les blogs déjà existant et dont je n'ai pas la charge du contenu, il semble que mon référencement et donc ma visibilité soit meilleure. Les notes introduitent à mon blog ne viennent que plus loin, confirmer mon activité sur le net !

La performance des outils [Blog] en cause ?
Je me pose la question : Est-ce mon hébergeur de blog qui est à la traine en référencement ? Moi qui pêche en tags, mots clés, liens de connexions... Pourtant je me souviens au début, avoir été très satisfait des positions occupées par mes notes sur Google (pour ne citer que lui). Dois-je imaginer que mon existence "virale" prend le pas peu à peu sur mon contenu ?

Et si un profil d'internautes à forte visiblité s'imposait  ?
Cette note pourrait s'adresser aux internautes qui hésitent à lancer et animer un blog (gourmand en temps, on le sait tous). Ils participent à quelques forums et discussions par commentaires interposés, bénéficiant des fortes audiences de sites et blogs ciblés, et voilà ILS EXISTENT sur la toile... Il sont référencés par les moteurs de recherche par association (aux auteurs et aux contenus des blogs commentés) Mais attention de ne pas devenir des spammeurs, des Toxiques !!! Les commentaires doivent toujours être au service du sujet, de son débat ou de sa précision...

Ils sont devenus visibles !
C'est bien mais ça ne suffit pas ! Iil ne faut pas rompre le fil avec le lecteur de blogs qui est en général curieux et se documente pour assouvir cette qualité. il faut assurer un relais vers un contenu réel : le BLOG , un site perso ou tout au moins une page web : un profil sur un site de réseautage ! non ?

Quoi en penser ?
Personnellement si les commentaires créent de la visibilité par "association", je ne pense pas que celle-ci soit viable à long terme, et puisse s'imposer sans support "pérène" à l'exemple d'un site perso ou bu blog. Les internautes deviennent friands voire exigents quant aux contenus à disposition. Il faut faire des recherches, illustrer ses propos, ou bien assumer sa subjectivité (exp. ou reflexion personnelle). De plus, il faut être pertinent car hors exclusivité, une info révélée sur votre blog a de très grande chance de trouver écho sur de nombreuses pages mieux référencées ou au sein d'articles mieux étayées... L'internaute, à priori, à tout intérêt à croiser, à compléter les informations qu'il lit et en cette facilité "nouvelle" offerte par le web, il peut très rapidement juger de la pérénité de votre Visibilité  : De l'existance et de la qualité de votre contenu propre en un mot !

Pour cela, je pense également que les bloggueurs qui se contentent de réécrire la news du "blog voisin" ne pérènise pas son lectorat. Il faut être vrai lorsque l'on blogue (défendu par Bertrand Duperrin) - réécrire à chaud ne facilite pas l'appropriation des sujets selon moi. Les internautes se lassent assez vite des plats réchauffés !

Si vous êtes visibles par les commentaires que vous postez et hésitez à blogguer ou avez fait le choix de ne pas vous lancer, je vous invite à nous laisser vos témoignages en commentaires !!! Merci par avance.

Bon surf - stéphane Thorel,
stephanethorel@aol.com ou  dialogue sur st_lamire@hotmail.fr
__________________________________________________
Chargé de projet en communication : profil 6nergies.net

Rendre visible sur Internet son profil professionnel (et malgré tout personnel)
c'est prendre le pari d'être et le risque de ne pas être...

nb : Rédigé en partie au fil de pla plume, je vous remercie de votre indulgence à quelques égarements de ma part. Cette note, bien que publiée, fera l'objet de ma part d'une lecture corrective, "de remodelage" si nécessaire. Si vous avez des remarques à faire dans ce sens, écrivez-moi ! Merci

Après avoir lu quelques articles sur le thème du réseau sur le blog dédié d'Herve Bommelaer à cette question, je pense à prendre du recul sur ma démarche de partage de mon profil et de "contenus". Depuis près d'un an, j'ai entamé l'animation de ce blog et plus récemment me suis inscrit sur des sites francophones de réseau (viaduc.com et 6nergies.net). 

Consulter : Mon dernier commentaire de réaction posté sur le thème du réseau.

Le mécanismes éditoriaux ne sont pas innés, lorsque l'on aborde un sujet aussi délicat que son expérience et par voie de conséquence son avenir... Il est difficile de trouver le bon ton, le positionnement qui retiendra le lecteur (avoir un avis sur Tout, ou au contraire une approche très précise de son métier ou secteur, lui-même bien défini "Pas toujours évident" !).

Suis-je  "LOSER" ou "WINNER" du réseau social ?
Le réseau social en ligne est pour moi composé de deux "outils".
> LE SITE DE RESEAU               > LE BLOG


Qu'en est-il de ma démarche : LE SITE DE RESEAU
Je m'efforce dans un premier temps de remplir au mieux mes profils, de repérer les fonctionnalités ou espaces réellement "efficaces" sur le site en question. Je repère ce qui me donner accès à des contacts, m'aider à les intéresser, donner de la visibilité à mon blog... Non pas que je sois immodéremment fier de son contenu, mais parce qu'il est un espace de vie et de partage qui dépend du traffic mais surtout des traces et témoignages que laisseront les visiteurs (commentaires, mails, contact msn...)

Le réseau en ligne s'accompagne obligatoirement de contenus vivants et intéractifs. Le blog du site en question, les forums, son propre blog ou sites internet sont autant de relais de l'information et de connexion intra et extra réseau. L'essentiel de ma démarche réside en la volonté de constituer un réseau "noyau" et un réseau "satellitaire".

Le réseau"noyau" est selon ma définition très théorique et personnelle :
Un cercle "maitrisé" de personnes aux horizons différents mais aux réflexions commmunes. Ce qui m'interpelle avec plaisir, ce sont les moyens différents de chacuns à apprécier une question, un objectif pourtant commun.

Ex : La création d'entreprise concerne tous les métiers. Et pourtant les approches sont différentes d'un artisan qui veut créer une activité de production, et un banquier qui lui veut proposer un service innovant aux entreprises.
Certains sont dans la continuité, d'autres dans la rupture... Ce sont tous ces aspects qui enrichissent ma démarche, plus généralement celle des adeptes du réseau...

Le réseau "satellitaire" est celui qui apporte une bouffée d'oxygène supplémentaire. Une rencontre inattendue, une approche radicalement différente, une vision opposé (avec un désir d'échange et non de confrontation)... Les contacts sont de tous horizons et en général, c'est ce groupe qui provoquent, souvent, les plus fortes remises en cause ( du fait de la spontanéïité des sollicitations)

En quelques lignes voici mon sentiment sur les leviers Réseau. Je n'aborde pas une question pourtant évidente du réseau : La rencontre. Je pense qu'il est essentiel de se réunir et cotoyer les contacts "acquis" et en créer de nouveaux. Comme souvent dans les prises de contacts par mail ou médias interposés, on peut regretter le manque de réactivité... Une question purement technique se pose... Quel est le rythme de visites des profils ? de consultation des messageries ? Sommes-nous trop souvent impatient et exigeant ?

Merci de poster vos commentaires sur la question ou par mail stephanethorel@aol.com

Qu'en est-il de ma démarche : LE BLOG
Tout comme le disait Jacques Froissant, lors de l'Atelier Blog emploi Challenge, il y a en réalité très peu de bloggueurs qui sortent durablement du lot. La qualité et la richesse des contenus, la régularité des "post"  aussi fontt la différence en plus d'une bonne gestion des liens et du référencements du blog... des notes elles-mêmes.

Le blog : outils de visibilité
Déjà un an que je suis présent sur le web avec ce blog et 61 notes plus tard je fais un mini-bilan...
Le blog est un outils exigeants en temps et en réactivité, synthèse, captation de l'info... Mais il permet par cette veille permanente une véritable "présence d'esprit" et culture spécialisée ou large. Il faut faire un travail permanent d'écoute, de lecture, de réflexion personnelle, etc... Le plus difficile à garantir pour me part est la constance, la régularité des notes postées. Dans ces notes, il faut différencier celles qui sont réactives, souvent courtes et celles qui partent d'une intention plus "constructive"... Ces dernières sont plus étoffées, complétées, avec des références et permettent si le but est effleuré, d'amener une réponse ou du moins des éléments de réflexion sur un thème précis.

Mais il n'est pas facile de savoir si ses visiteurs viennent chercher et attendent des notes courtes ou longues (selon définitions faites ci-dessus). That is a Question ?

Après cette année de blog, je cherche à déterminer ce qui vous intéresse, tant sur le fond que sur le ton utilisé. Je suis assez content de la fréquentation de mon blog et aimerai d'ailleurs comprendre quels types de lecteurs je reçois et pouvoir améliorer le contenu et le contenant de ce blog  !!! voir le Mini-sondage.
Je ne fais pas de fidélisation "grosse ficelle", j'ai juste le désir d'apprendre par VOS remarques ce qui est perfectible dans ma démarche et mon "discours Blog".

Le blog : outils de contacts
L'effet de nouveauté est évident sur la toile et les premiers mois, de nombreux contacts se sont concrétisés par quelques mails de courtoisies échangés.. MAIS le problème des contacts et le même que celui rencontré sur le réseau...c'est : Que pouvons-nous nous apporter ? SI rien ne saute aux yeux alors la relation va être courte... Et pourtant si peu de chose peuvent connecter deux personnes sur un projet, une idée, un avis, etc... Pour ma part, j'attends un avis extérieur constructif, un débat, une connexion d'intérêts professionnels, un encouragement soyons fou !


Pour conclure
Selon mon expérience, la visibilité sur le net est un soutien évident pour mettre à disposition un contenu, ou soi-même mais elle ne constitue pas une "garantie de résultat". Les chances pour que vous soyez en plus d'être lu, contacté puis sollicité de manière plus formelle restent limités. Encore une fois cette avis personnel dépend d'un angle d'attaque, d'un type de contenu partagé, du temps et de la persuasion dont vous saurez faire preuve. Par exemple, Hervé Bloch a créé son blog pour mettre en avant sa disponibilité, et en moins de 10 jours il était embauché. Ce que nous pouvons regretter, c'est qu'il a quitté la blogosphère le jour de cette embauche pour ne plus jamais nous donner de nouvells ou partager son expérience...Il reste difficile de transformer sa visibilité en contact : Demande de RDV, envoi d'une demande ciblée, obtention d'une prise de position de la part du visiteur, etc... Les moyens restés virtuels que sont le partage par blogs interposés et le réseautage uniquement en ligne ne constituent qu'une opportunité de contact mais en aucun cas ne permettent de tisser de vrais liens professionnels ou amicaux. Et c'est heureusement la limite de ces outils qui ne remplaceront pas la rencontre physique. Mais faut-il la créer, la solliciter. Et pour cela je pense que l'internaute français devrait se "livrer" un peu plus, être plus impliqué dans sa démarche et ainsi accepter de donner des l'infos, des avis : Qu'il se mouille ! C'est une certaine spontanéité qui manque à mon sens au dit "réseautage" à la française...Soyons humble (juste) et audacieux (non complexé) à la fois ! (soyons plus anglo-saxons peut-ête : Ferplé et Ambition, telles pourraient être les caractéristiques culturelles manquantes ?)

Merci de poster vos commentaires ou par mail stephanethorel@aol.com ou msn st_lamire@hotmail.fr

stéphane thorel, Chargé de projet 
Communication globale et opérationnelle
Recherche contacts et projets nouveaux...

MINI SONDAGE : Aidez-moi à faire progresser ce blog !!!

Ce texte ne constitue en rien une critique visant à dénoncer ou promouvoir le thème abordé.
Il s'inscrit dans une réflexion plus globale sur la communication et son pouvoir de persuasion voir d'influence.

Impliqués dans les métiers de la communication, des relations publiques et bien d'autres, vous n'êtes certainement pas insensible au titre de cette catégorie.

Je m'explique ! Lors de rencontres faites dans le cadre de mon métier et sous diverses formes : lancement presse de produit, soirée dite :"Privé", open bar dans un lieu dédié à une opé marketing... nous sommes souvent en présence de "stéréotypes". On rencontre des gens qui se distinguent par une grande classe, un raffinement coûteux, une attitude dégagée à la limite du bohème (alors que c'est le PDG de "bidule"), une passion pour les décapotables américaines... Toutes ses caratéristiques personnelles sont méticuleusement orchestrées.

Les biens ainsi mis en valeur, les attitudes revendiqués deviennent alors un marketing de soi, basé sur une promesse simple : L'art d'être ce que je paraît...

Je précise mon raisonnement et le pourquoi de cette catégorie !

Nous jouons un jeu de séduction, créons des personnages pour plaire à nos interlocuteurs, à nos clients en particulier. Sans vouloir vendre mon âme au diable, je me demande si le choix des passions, des activités sportives, de la nouvelle voiture, etc... n'est pas quelques part totalement guidé par ce métier d'image que nous exerçons ...

"Bonjour monsieur, on ne se connaît pas mais comme vous je joue au glof et roule en Porsche 356 Speedster, elles sont si fiable et élégante. On se voit Dimanche pour un golf et on parlera de nous, de nos projets communs à venir."

Le concept au quotidien pourrait être ressenti comme un dictat moderne, une mode du bien-paraître, du total-look (parfois dit "Too Much"). Surtout que l'équilibre est difficile à trouver. Etre/ Paraître, c'est aussi un risque de se perdre ou de faire perdre le fil à son entourage.

La famille : comment perçoit-elle les choix ? Chéri, pourquoi acheter un roadster cabriolet de fonction ? On a trois enfants et un chien !!! Tu n'aimes pas ma cuisine, pour commander des plats chez le traiteurs pour le dîner avec ton patron ?

Je serai ravi de pouvoir développer cette question de "Marketing de soi" enrichie de vos avis et expérience...Merci

Pour les amateurs de jazz, le Bilboquet fait parti de ces lieux mythiques où il fait bon se poser...

Le propre du mythe est sa capacité à susciter le plaisir et l'admiration, et cela au delà de toute considération de temps ou encore de géographie. Mais la rumeur précède parfois le mythe.

Le Bilboquet serait voué à disparaître ? Que pensez de cette persistente information ?

Prise au sérieuse sur le net par de très nombreux irréductibles du jazz à st germain, je vous invite à taper bilboquet sur votre moteur de recherche et alors vous aurez la possibilité de prendre connaissance de la source de cette rumeur. Heureusement, elle compte des opposants. Une PETITION est disponible pour témoigner de son attachement au lieu ou au Jazz à paris d'une manière plus générale.

J'y ai passé une soirée divine le 27 août 2005. Un crooner américain dans la salle restaurant et moi, en bonne compagnie sur la mezzanine à déguster un coktail à base de Rhum et un cigare proposé sur le lieu.

La cave à cigare du Bilboquet est composée de quelques classiques bien choisis. Partagas de différents calibres et Cohiba se disputent cet écrin feutré et bien tenu... L'alchimie de ce lieu sombre, de ce crooner (interprète inprobable de Serge Gainsbourg), et de ces quelques ingrédients de plaisirs font de cette soirée, un moment privilégié à renouveler (ou à découvrir).

Bonne soirée  par avance !

Je vous souhaite d'y aller passer une agréable soirée (innoubliable) avant que la rumeur n'est raison de ce mythe...