On a tous rêvé de faire un truc du genre.
Voilà comment fédérer et communiquer sur les interfaces tactiles, avec un esprit ludique et pratique à la fois !

Comme j'ai déjà eu l'occasion de le dire, la crise bien que réelle et anxiogène, constitue une opportunité de nous poser "les bonnes questions". Je constate déjà depuis début 2009, que la crise aide à prioriser ses pensées et actions. Le lean management est un ensemble de principes d'optimisation des coûts (diminuer les dépenses, pertes) et des pratiques (encourager l'implication humaine)...

A titre perso par exemple, j'ai fait le choix draconien de me débarasser des grognes accumulées fin 2008, pour repartir motivé et regonflé à l'assaut de la nouvelle année. Je me suis donné 2 mois pour organiser mes actions et murir certains projets à concrétiser en 2009. Le résultat est sans appel. Je me sens optimiste, courageux, déterminé, constructif et infiniment collaboratif... Bref, là n'est pas le propos...

Face à la crise les entreprises se réorganisent. Je ne parlerai pas des licenciements que je déplore, mais des réorganisations internes. Forcées d'être plus efficaces (rentabilité) et meilleures (qualité), les entreprises optimisent leurs offres, éclaircissent leur stratégie, renforcent leurs forces commerciales et doivent consolider l'esprit d'équipe. C'est une bonne raison de croire en des lendemains meilleurs, non ?

Les meilleurs seront les derniers. Si il doit en rester qu'un, en ces temps qui courent, il s'agira du meilleur. La particulartié de cette crise, c'est que très vite on constate que les chaînes de productions ne sont pas les seules à trinquer (chômage technique et incertitude). Les cadres et managers sont impactés très vite par les enjeux de restructuration, et c'est un gage de clairvoyance. Il s'agit très tôt de mettre en lumière des maillons structurants, compétents mais surtout fédérateurs. Il est essentiel de savoir réunir pour avancer en 2009 !

Mon propos peut paraître "rêche", mais c'est une réflexion fondée sur des observations, et sans arrière pensée !

3D très soignée, film plaisant, séquence joeuse et rythmée. Ils prennaient le risque d'être comparé à Citroën et son "Transformers", mais là le ton est très différent (joueur, urbain, ludique, espiègle). No comment et excellent boulot, Non ?

Peugeot 3008 from stephane leloutre on Vimeo

Deezer a fait son chemin depuis son apparition dans le paysage web, à une heure où le peer-to-peer compromettait l'industrie du disque. Si aujourd'hui, tous les acteurs de cette industrie ne sont pas sagement rangés derrière Deezer, celui-ci ne peine pas à trouver des annonceurs pour commercialiser ses espaces. Le traffic de ce site le place naturellement dans le top 10 des sites à "investir" mais aussi il a su porgressivement faire évoluer son offre publicitaire, bannières, bandeaux plus larges, pages d'ouverture, fonds de page, playlist "annonceurs", personnalisation du player, insert dans le sélecteur de la home, etc... Depuis quelques mois, on assiste à une réelle montée en puissance de Deezer, qui propose les nouveaux espaces de communication cités, et des customisations remarquables.

Vu aujourd'hui une bannière pub intégré sélecteur Deezer désormais culte et accessible dès l'accueil,

Mais il y a eu également une série récente de players customisés (Ici les exemples de Nissan et Sony).

Et les choses ne s'arrêteront certaiement pas là...

Mon actualité pro est liée de près à l'Ubimedia. Non limité à ce terme, il s'agit d'appréhender un concept né de constats et de prospectives dans le milieu de l'informatique et Internet d'abord (et autres demain). Je suis moi-même convaincu de cet avenir où l'informatique sera omniprésente pour informer, communiquer, enrichir, anticiper nos besoins, etc... mais comme cela comporte aussi des risques sociétals et technologiques, je prends aujourd'hui l'engagement de contribuer à cet avenir sur un angle durable.

Les constats Ubimedia ?
Les usages et technologies permettent dès à présent une quasi omni-présence de l'informatique dans notre quotidien (consoles, objets, mobile, pc, domotique, tableau de bord automobile...). Reste à "dissoudre" les technos dans tous les objets voire matériaux du quotidien et les faire agir (selon l'usage) de manière autonome et proactive...

Les prospectives Ubimedia ?
Impossible à ce jour de limiter l'imagination car il semble que les perspectives technologiques soient ambiteuses : Dispositif connecté en assistance, anticipation, modification de notre environnement. Demain, les flux d'information intégreront nos tissus, et gèreont notre environnement technologiques proches (domotique) et piloteront de manière autonome des modifications hormonales voire génétiques en réaction à une altération de notre santé. Tout semble envisageable !

Prendre l'Ubimedia d'un angle durable (ma volonté) !
Ubimedia oui, mais seulement si le bénéfice est réelle (pas d'Ubi-gadget), si l'Homme en est le principal bénéficiaire (Ethique), si il crée sa propre énergie (éviter l'écueil "raccourci" : un nouveau relais ou terminal = une nouvelle prise électrique), si la communauté est respectée (projet solidaire et non participer à la fracture numérique), si l'informatique soulage la TERRE (un échange numérique plutôt qu'un déplacement physique).

Si je me permets de forcer le trait, toute création issue du concept de l'Ubimedia devrait dépendre d'une énergie propre ou être compensé (CO2 zero) Sinon à quoi cela sert de dématérialiser une action agréable comme faire du shopping, si c'est pour en subir les effets nocifs (transports polluants depuis des entrepots lointains).

Ubimedia Citoyen : Bénéfice réel et pour tous
Illustration d'un projet "Ubi-durable" (selon un angle citoyen, non ?)
En juin prochain, le projet "montre verte" développé dans le cadre du programme villes 2.0 de la FING devrait entrer dans sa phase expérimentale. Un millier de ces montres écolos, capables à la fois de mesurer la qualité de l'air et les nuisances sonores devraient être mises en circulation. Objectif : recueillir, compléter et multiplier les données environnementales déjà existantes... Montreuil (93100) devrait être la première ville en bêta à tester ce dispositif, rejoint probablement par Saint Denis (93).

Ubimedia Collaboratif : Renforcer la solidarité et l'échange
Afin de ne pas accentuer la fracture numérique, l'Ubimedia devra oeuvrer pour rapprocher les gens, les savoirs et non les "restreindre". Nous touchons à l'essentiel du débat, et devons être très vigilant à la gestion future de notre Identité numérique afin qu'elle soit protéger et participe à préserver la singularité de chaque individu même connecté. Le collaboratif est sur toutes les bouches de nos dirigeants ui s'intéressent à l'Intranet 2.0. Ils ont tout à fait raison de la faire, sous réserve de s'assurer de quelques principes de précaution. Evaluation de la maturité (usages et technos) des personnels cibles, accompagnement au changement et coaching des personnels encadrants peuvent être conseillés, selon les contextes.

Ubimedia Eco-engagé : Energie propre et production raisonnée
Pour illustrer l'enjeu de l'Energie pour soutenir les développements technologiques, je rebondis de l'actualité.
La tempête des derniers jours dans le Sud Ouest nous rappelle à la vulnérabilité de notre réseau électrique, entre autre. C'est une bonne raison pour identifier des opportunités de créer un réseau ou dispositif autonome, parallèle à ce que nous connassions déjà. En plus de la pénurie d'énergie qui semble inévitable ou tout au moins à considérer à moyen terme, une logique d'auto-alimentation par des énergie propre des matériels extérieurs parait raisonnable. Par exemple, les panneaux tactiles qui vont remplacés les sucettes culturelles Starck installées par le géant JCDecaux devraient être alimentés par une énergie propre et individualisée (panneaux solaires ou autres ?) tout comme les panneaux 360x240 de ville et 4x3 de banlieue.

Ubimedia selon un modèle économique sein
Avant de crier au scandale dans quelques années et puisque nous le pouvons, prenons ce marché émergeant à la base pour le construire "équitable". Privilégions les échanges de valeurs locales (Achat en ligne = géolocalisation des stocks marchandises et services locaux), les "micro-économies" localisées plutôt que les méga business-center ou les méga-pôles industrielles de l'Est. Relocalisons la production d'énergie, de contenus, puisque demain les terminaux et réseaux d'échanges ne seront plus une barrière (physique)...

Voici en pâture quelques réflexions générales et idéalistes peut-être. Je suis ravi de les avoir partagé, car elle préfigure d'une évolution de mon approche au chose, et peut-être de mes aspirations futures. Je vous parlerai prochainement d'un engagement professionnel que je souhaite prendre publiquement, puisque l'Internet m'en donne l'opportunité !