City of Books, magnifique !
Superbe réalisation stop motion réalisée par Apt Studio à l’occasion du 25ème anniversaire de la maison d'édition 4th Estate et repérée dans mes flux depuis 2 jours, ici par exemple...
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Superbe réalisation stop motion réalisée par Apt Studio à l’occasion du 25ème anniversaire de la maison d'édition 4th Estate et repérée dans mes flux depuis 2 jours, ici par exemple...
Le synopsys selon allocine :
Erica Bain a trouvé dans les rues de New York son domaine d'élection. C'est là qu'au fil de ses longues marches, elle recueille les sons et les histoires vécues qui alimentent son émission radiophonique "Street Walk". Le soir, elle rejoint l'homme de sa vie, son fiancé David Kirmani. Mais, une nuit, le couple est sauvagement agressé aux abords de Central Park ; Erica, grièvement blessée, a en outre la douleur de perdre son compagnon... La ville qu'elle aimait tant lui inspire désormais une profonde angoisse. Erica décide d'agir contre cette peur qui menace sa raison... [la suite]
Mon avis sur le film : Amateur de thriller critique, je suis régulièrement déçu à cause d'histoires et contextes "banals", de ficelles de l'intrigue grossières, le tout monté selon un rythme inadapté. Je suis vigilant au scénario, à la mise en scène et traque la promesse surfaite, souvent marketée par un bon résumé et une bande annonce haletante, mais qui souvent à l'écran prend l'eau dès le premier quart d'heure. Ce film tient ses promesses, mieux encore, il n'en fait pas étalage. La justesse de jeu de Jodie Foster, décidemment pas cantonnée à des rôles de quadra BCBG est un atout pour ce film. Mais en plus de cela, le film est traité avec originalité et singularité par une atmosphère "très humaine". La peur est traité avec originalité et force.Le film met en scène davantage des "victimes" faisant face aux dangers et peurs urbaines, que des situations de dagners elle-mêmes. Le personnage de Erica acceptera pourtant de les cotoyer, pour les vivre. Son rôle féminin apporte l'humanité utile à ce film, ainsi reçu comme singilier. Je pense qu'un hero masculin aurait pu faire de cette errance nocturne tourmentée, une banale histoire de gentils contre les méchants. Ca aurait été dommage !
Le vrai petit plus : Il est évoqué par la production elle-même dans les secrets de tournage (lu sur allociné). Ma satisfaction a regarder ce film montre que les effort ont payé, de ce qu'elle appelle le développement de la dimension féminine. C'est un effort au bénéfice "indirect", qui rend ce film singulier, et si prenant. La traduction de sentiments "humains" chaotiques face à l'horreur constitue l'approche réussie de ce thriller.
La fondation Abbé Pierre tape fort, et parce que les visuels parlent d'eux-mêmes, je fais l'économie d'un "enrobage" (exit le blabla) ! L'échelle 1:1 de l'affichage crée une réalité si forte et percutante qu'elle touchera la population (reste ensuite à la mobiliser vers l'action).
Communautaires, quand tu m'engages...
C'est intéressant de constater que l'avenir des plateformes communautaires n'est pas aussi dépendant de la technologie, comme beaucoup tente de nous le faire penser, mais qu'il s'agit bel et bien d'un enjeu et d'une dynamique humaine. Les facebook et autres plateformes mises en ligne ne sont pas que des "jeux de plateaux" pour geeks et communiquants éclairés. Il est bien question d'usages innés, de besoin de communiquer, de partager et transmettre, ou encore de collaboration thématisé et d'un désir de mise en commun d'intérêts (enjeu social). L'engagement individuel et collectif revient en force avec une prise de parole en ligne désormais organisée, canalisée et aux effets mesurables.