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  • Ferrari California

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    Le 18 septembre 2008 était présenté en avant première mondiale la Ferrari California, à quelques semaines du mondial 2008. Depuis, les journalistes spécialisés multiplient les éloges sur ses lignes originales. Le relais web est à la hauteur de l'événement, est orchestré par un site riche visuellement, et 6 langues (segment produit oblige). C'est un site agréablement immersif dans l'univers du joyau Ferrari, comme vous pouvez l'imaginer.

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    Une imagerie très technologique et numérique fait d'effets lumineux modernes qui réagissent à la bande musicale ou au moteur du véhicule. Cela participent à l'immersion dans un registre "passionnel", avant tout. Le rubricage s'inspire d'un appel à l'éveil des sens, écouter, voir, sentir... Les contenus vidéos sont élégants et distinctifs, plutôt que démonstratifs et rugissants. Le produit s'adresse à une cible privilégiée on n'en doute toujours pas, mais à mon sens moins orienté "fan de Ferrari" que pour de précédents modèles comme la Enzo.

    La ligne générale, la configuration cabriolet, le coloris bleu invite à d'autres valeurs que celles qui font la fierté pour un bolide rouge vitaminé, macho et sur-ventilé appelé Ferrari. Exit la carosserie extravagante, la mécanique "circuit" ostentatoire, place au raffinement, à l'élégance, voire à la délicatesse. Serait-elle la sportive de madame ? Quoiqu'il en soit, le modèle me plait.

    On a pu la découvrir dès mi 2008 dans les démos Gran Turismo 5 prologue (vidéo également visible sur le site de la Ferrari). Rejoignez le groupe Facebook des fans du modèle.

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  • Réalité augmentée, suite

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  • Réalité augmentée : Nouveau challenge pour les marques ?

    Après la réalité augmentée présentée au public à l'occasion de la sortie d'une nouvelle attraction au Futuroscope, les marques semblent s'intéresser à ces travaux. Comme les cartons imprimés visibles sur la vidéo ci-dessous, des "symboles" issus du off-line permettent de "additionner" une modélisation 3D virtuelle ; Procédé né d'une webcam et d'un écran ordinateur. La marque Ray-Ban initie les visiteurs de son site (allez dans la rubrique Virtual Mirror), et crée un lien fort entre le produit et le consommateur "distant". Après le web riche et interactif (W2.0), l'objet communicant (W3.0 ?), un présumé web 4.0 pourrait être de créer ou renforcer une "relation augmentée" entre contenus web et corps physique de l'internaute (lui-même !). Mettre le corps humain au coeur du language numérique serait, selon moi, un aboutissement fascinant de l'ergonomie homme > machine, comme l'initie dans l'usage le bureau virtuel (microsoft surface, billboard)

    Autre exemple vu ce matin (maj 22/10 - 10h48)
    Le petit + du jour (23/10/08)

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  • Restons calme...

    ...ou tout au moins pertinent (évitons la kakophonie) !

    Ce billet, en réaction à chaud à une intention louable qui a fait néanmoins aujourd'hui figure de maladresse et participe malgré elle à alimenter la confusion ambiante. Les conséquences collectives ne sont pas visibles à court terme, mais le message envoyé à certain, sera à moyen terme un risque nouveau pour tous (cf le retour sur la notion de "crise ressentie"). Je résumerai le contexte évoqué à son plus simple appareil : Depuis septembre, et dans un contexte où la crise faisait figure de sérieuse concurrente à la valeur ajoutée des entreprises (comme une fatalité), les relances commerciales enthousiastes (voire effrénées) de tous les sujets anciens et nouveaux font légions, incluant certainement au passage quelques mauvaises idées. Nous assistons à ce qui semble être une "intention louable", qui vise littéralement à bombarder les interlocuteurs d'information (pour les rassurer ? = Je communique donc j'existe !). Si le doute existe en cette période de crise mondiale, avec ses impacts annoncés ou avérés selon votre secteur d'activité (je vous laisse juge), il est néanmoins essentiel de rester pragmatique et organisé. La débauche d'effets et d'intentions constitue malgré toutes vos précautions, le plus souvent un accélérateur dans la diffusion d'une crise ressentie par chacun (vos collaborateurs proches), ou votre organisation (votre société ou groupe auquel vous appartenez). Par exemple, l'explosion non maîtrisée d'intentions managériales pour enrayer les craintes de votre société, de moins vendre ou de devoir se réorganiser, est un signe (ostentatoire) de désorganisation voire de panique laissé à l'appréciation des collaborateurs (et si ces phénomènes sortent de vos murs, vos clients et prospects seront touchés).

    Juste pour revenir sur la notion de crise ressentie ?
    C'est la réalité individuelle de la crise, celle qui est ressentie. Si je ressens une chose, c'est qu'elle existe (première réction subjective de l'individu). L'une des manifestation de cela, est le cas où un collègue vous fait part de ses difficultés, de ses angoisses et que celles-ci font écho à ce que vous vivez. Vous finissez alors par converger vers des ressentis communs, et le recevez comme étant une vérité désormais avérée (partagée) : si nous sommes deux à le ressentir, c'est qu'il existe une réalité à notre malaise !

    Ce que je pourrais entendre par,
    La débauche d'effets : communication tout azimut, réorganisation précipitée, "surenchère" de votre promesse marketing,etc ...)
    La débauche d'intentions : A ne pas confondre avec les initiatives que je considère être des actions souvent nécessaires, à priori plus structurées et concertées que les intentions (entendez action intuitée, menée en marge des modèles et des process). L'intention est la projection d'une pensée vers une action (avoir l'intention de), alors que l'initiative est une action concrète.

    Dans le climat du moment, de nombreuses solutions résideront dans un travail de fond et non de surface. Les faits reprendront leur place devant les intentions, les résultats mesurables devant les opportunités, etc... Et si la crise finissait de faire plier la communication face au marketing, comme on le voit dans certains secteurs hyper-concurrentiels depuis quelques années déjà ?

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  • Metallica 2008 : Renaissance d'un son !

    metallica.jpgThe Day That Never Comes, l'un des titres du dernier album de Metallica m'a laissé KO à sa découverte entre autre par la prouesse intrumentale à écouter au-delà des 6 premières minutes du clip. 

    Impression de vivre la renaissance d'un son rock originel, oublié. Le titre m'a rappelé aux compositions mélodiques et pénétrantes d'un rock qui ne s'entends plus qu'en marge (cible de niche) ou est édulcoré de pop (pour le rendre tout public). Qu'il s'agisse des groupes Scorpion, Guns n' Roses, Rolling Stones, ou Metallica, ils font partie des repères d'un rock rangé sur l'étagère : cultes et autres incontournables.

    Lire aussi l'article du Monde sur le retour de Metallica à Arras.

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