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  • SARL à capital libre : Quelle réalité ?

    J'essaie de me tenir au courant et de forger des opinions sur les actualités en matière de création, de gestion d'entreprise. Je suis attentif aux mesures de la loi Dutreuil votée en Août 2003 et commence à voir en elles, quelques réalités qu'il me plairait de partager avec vous qui êtes plus expériementé, impliqué, ou encore d'un point de vue différent.

    Loin de pouvoir dresser un bilan, les jeunes mesures font tout de même partie d'une réalité qu'il est aujourd'hui possible d'illustrer et de commenter. Je vais comme le titre l'annonce me concentrer sur les informations relatives au capital à 1 euros. Les chiffres présentés sont en partie extraits du Défis n°231 de Septembre 2005.

    La finalité de cette note étant de cumuler vos réactions, en apprécier les nuances et ainsi nourrir nos réflexions sur le sujet.

    Mon point de départ sera la réponse obtenue sur le sujet auprès des entrepreneurs installés qui m'entourent.
    "SARL à 1 euros, c'est irréaliste. Faire croire qu'une société se crée comme cela et une insulte faite aux entrepreneurs." Cette citation est attribuable à de nombreux entrepreneurs.

    Quelle est la réalité de la SARL à 1 euros. Sous entendu, et pour cela faisons preuve d'esprit et voyons large, que le but est de proposer la création d'une SARL à capital libre et non à 1 euros. Car soyons honnête 1 euros de capital me semble être davatange une "image forte" au service du marketing des politiques. Enfin, si cette euro permet de créer la SARL sur le plan juridique, alors oui mais alors hors affranchissement pour l'envoi des documents "papiers". Et oui !!! les services de création en ligne ne sont pas tous opérants.

    Bref ! Nous ne pouvons nier l'effet de rebond que cela à produit sur la création d'entreprise de type SARL.
    9000 SARL crééent à Paris depuis 2003. source Tribunal du Commerce.

    En France, les chiffres sont honnêtes.
    2003 à 2004 : + 12.5% de création de SARL.
    en 2003, 1.69% des SARL étaient de capital libre contre 33% en 2005 (évolution 2004 : 31%).

    Mais revenons à un débat de terrain, plus pragmatique.
    Il est une réalité de la loi Dutreil : Elle permet à chaque entrepreneur nouveau de faire un projet personnalisé à 100%, et de prendre de manière stratégique des initiatives quant au montant de son capital. cette démarche permet de se responsabiliser dès cette question, face à son projet. Il ne subit plus de pression économique, bien que la SARL à Capital libre reste un taboo, surtout sur le plan bancaire. Mais il est une autre réalité qui nuance et équilibre la notion de capital libre. En effet, seulement 5% des création de SARL à capital libre ont débutés avec 1 euros. Les autres plus pragmatiques, ont en moyenne investient 2000 à 2500 euros dès le capital. Cela me parait déjà plus raisonnable. D'autant que les chiffres de cessation de ces activités sont correctes (4% des SARL dite à "1 euros" ont cessés leurs activités - tribunal de commerce de Paris).

    Je n'ai pas la prétention de faire une annalyse plus poussée que celle-ci. Je vous ai livré quelques chiffres sur la mesure phare de Dutreuil : La SARL au capital de 1 euro. C'est maintenant à vous de nous faire partager vos projets à 1 euros, vos regrets, vos conseils.

    Donnez nous votre REALITE !!!! Merci de votre intérêt.
    Je prépare dès que possible un article complémentaire afin de vous livrer les premières remarques postées... 


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  • Les premières sont toujours les plus difficiles...

    Et oui c'est parti : Le sujet des cartes de voeux est bien actuel.
    Avec la périodicité des votes de budgets, les cadres surbookés, les responsables Comm. en déprime, les demande de création de cartes de voeux arrivent de plus en plus tôt sur les bureaux. Je suis bien embêté. Il fait encore un temps plus que correcte (tout au moins ensoleillé), et on me demande d'envisager les voeux de cette année.
    Pour cela, j'aurai préféré un temps hivernal, des week-end au coin du feu, de longues promenades en forêt, des biscuits à l'odeur de canelle trempés dans un thé... Excusez-moi je me laisse aller.

    Commercialement ?
    OK je suis sur le coup - Mailing, réflexion sur de nouveaux concepts "voeux", promotion de notre outil d'envoi d'e-card, etc...

    Techniquement ?
    C'est tout bon - je fais le point sur les coûts, les nouveautés et les compétences internes et celles de mes prestataires habituels et nouveaux...

    Mais sur le plan Création !
    Les idées sont molles, les clichés des années précédentes se bousculent dans ma tête mais sont heureusement éliminés en temps réel. Mais tout de même il me paraît difficile de me concentrer sur le concept des voeux de fin d'année... Je vais prendre mon mal en patiente, laisser vagabonder mon esprit et vais organiser une réunion au sommet de moi à moi pour decider des lignes graphiques à tenir pour 2005...

    Je vous le promet !
    Je pense que comme chaque année, le problème trouvera sa solution de la manière la plus évidente qui soit : 1.Ecoute du client     2.Concentration     3.Travail et feeling créatif...

    Si ça a marché en 2004, pourquoi ne pas y croire ???

    Merci de votre intérêt...

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  • Pas de quoi se stresser, vraiment !!!

    Pas de quoi se stresser !!!
    Hier, il m'était difficile de "rentrer" dans ma semaine : en cause un gros dossier qui ne quittait pas mon esprit.

    Depuis les nouvelles sont bonnes et même excellentes à mon goût. Je me contente de peu allez-vous dire.

    Le dossier pour lequel j'ai angoissé ce lundi et me suis investi à 150% ces deux dernières semaines a été accepté.
    Notre étude et recommandation est viable. Notre candidature est accepté[Marché public important]. Nous saurons si notre agence sera titulaire du Marché dans le courant d ela semaine prochaine. Tout n'est pas acquis mais le plaisir de voir son travail reconnu comme de qualité est déjà une fierté en soi connaissant l'ampleur du dossier et de son mandataire.

    Second point et pas des moindres. Je ne savais pas sur quel autre dossier me concentrer. (cf note précedente)
    J'ai alors suivi le conseil d'une Blogueuse, et ai entrepris de travailler sur le dossier le plus ennuyeux à mon goût.
    Il y a deux minutes, mon patron est venu faire le point sur la maquette créative et la Reco. du dossier. Il s'agit en quelques mots d'une news letter à destination exclusive de journalistes spécialisés [dsl je ne peux pas vous en dire trop]... Et il est ravi de ma maquette, qui va en plus selon lui plus loin en terme d'impact et de lisibilité que ce qu'il imaginait... Super !!! ça booste ce genre d'après midi.

    Merci de votre intérêt.
    Stéphane

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  • Le Bilan de Compétences : Créateur...

    Je souhaite partager avec vous une étape de mon parcours professionnel qui s'est avéré contre toute attente plus que positive et je vais vous en donner rapidement la raison.

    Le Chômage !
    J'ai connu à la fin de l'année 2004 (Novembre_Janvier) trois mois de remise en question. Après la cessation d'activité de la société qui m'employait, j'ai entrepris en plus de la recherche active d'un nouvel emploi, une mise à plat de mes acquis et de mes objectifs. Pour faire la parenthèse sur le chômage : cette période, je l'ai beaucoup redouté car je suis arrivé à Paris après avoir signé au lendemain de mon examen, un CDI en guise de premier contrat. Je n'avais donc jamais eu à me vendre, autrement que par le travail que j'ai fourni lors d'un stage et pour lequel j'ai été recontacté. Voilà pourquoi cette période a généré quelques doutes. J'ai aussi voulu peut-être par réaction, me donner la chance de prouver que mon projet de création de mon agence de communication est viable.

    Revenons-en au Bilan ! Vous pourriez penser que 23 ans, 2 ans d'expérience : c'est un peu tôt pour faire des bilans. C'est ce que j'ai cru également, mais j'en ressentais le besoin. Je suis de nature à avoir sans cesse des projets en tête qu'ils soient professionnels ou personels. Ils me permettent de me projeter, d'avancer, de me guider. Ses projets parfois clairs et déterminés ou totalement ludique parfois insolites et inutiles me donnent la satisfaisante impression de maîtriser mes objectifs et de contribuer à leurs réussites (ex. ce blog) . J'ai alors "profité" des mois calmes de cet hiver 2004 (les pires pour la recherche d'emploi) pour entreprendre un BILAN DE COMPETENCES PERSONELLES auprès d'un cabinet de formation agréé.

    Au départ, je ne peux pas nier que j'appréhendais que ma crédibilité ne soit remise en question et que tous ses projets (de création dans ce cas) ne s'avérent que de jolis mirages. Et puis non. Je ne suis pas d'un tempérement à subir le jugement d'une personne extérieure sur ses convictions qui me caractérisent. Je me suis alors mis en tête d'assister à ses rendez-vous avec toute la concentration et l'intérêt que le Bilan nécessite.

    Et pour mon plus grand plaisir, très vite, le formateur a balayé mes doutes d'un revers de manche.

    #Malgré ma "jeunesse", il me prend au sérieux, m'ecoute, me conseille, valide mes objectifs, et est intéressé par mes acquis. Il m'encourage très tôt à réaliser un dossier complet et finalisé : Business plan, Prévisionnel, amortissement, plan de communication, etc...#

    Les documents faits, il semble accorder du crédit à mon projet et me témoigne lors de notre dernière entrevue tout son soutien et ses encouragements. Car il y croit ! J'ai appris à ne plus douter de mes projets. Et si on m'a toujours encouragé à en avoir pour me projeter, maintenant je sais qu'il faut en plus d'en avoir : Faire confiance au temps et mettre toute la détermination nécessaire à leur réussite...

    Aujourd'hui, et malgré une énergie réelle, je n'ai pas donné vie à l'agence de communciation. J'ai accepter quelques jours après une opportunité salariale qui me parait (encore à cette minute) valoriasante et enrichissante. Elle me permet, comme toutes les suivantes le feront, de perfectionner mes acquis et enrichir d'une manière plus ou moins direct ce projet que je continue de nourir. Et maintenant sans faiblesse, car la réalité de ce projet est démontré.

    Merci de votre intérêt. Bonne continuation.

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  • Comment choisir...

    Premier acte d'une nouvelle catégorie que je dédie à mes humeurs porfessionnelles. Je vais essayer de vous faire vivre mes journées, semaines, projets de manière régulière et selon mes inspirations ou revendications....

    Aujourd"hui, Le problème est simple.
    La semaine dernière, j'ai terminé un dossier important d'étude de Marché et ne ressent pas la libération résultant du rendu de celui-ci. Je pense avoir mené une belle et complète étude, qui m'a value d'ailleurs les félicitations de ma direction. Mais ce dossier a été dur, long et l'implication forte. Ce week-end, je ne crois pas avoir assez fais le break.

    Conséquence ce lundi matin, difficile de reprendre le fil d'autres dossiers ou d'en entamner un nouveau.
    Le problème est donc le suivant :

    Après avoir ais le tour de tous mes mails, avoir pris connaissance du courrier, fais le suivi de dossier en fabrication, J'ai beaucoup de mal à me concentrer sur les deux études qui qui m'ont été confié. Pourquoi ?
    L'une me semble ennnuyeuse et sans marge de manoeuvre (creative) et l'autre me plait beaucoup. J'ai alors peur de m'investir au détrimant de l'autre. Que faire ? Me débarrasser du dossier ennuyeux ou me défouler sur celui qui me plait au risque de ne pas compter mon investissement et de me faire rattraper par le planning d'étude qui lui n'ai pas extensible.

    Allez !    je me laisse l'heure de déjeuner pour oublier le dossier de la semaine dernière, et me fixer de nouveaux objectifs quant aux prochains dossiers à traiter.

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